Être végane ou ne pas être ?
Ne consommer aucun produit de service
ou alimentaire ayant nécessité l’exploitation d’animaux. Sur le papier,
la philosophie du véganisme est certes séduisante, mais dans la réalité
sanitaire qui nous occupe, est-elle bien raisonnable ?
Le véganisme
prône pour l’être humain une vie sans exploitation des animaux, sous
quelque forme que ce soit. Sur le plan alimentaire, cela signifie non
seulement l’exclusion de la consommation de la viande d’animaux
terrestres et marins, mais aussi celle des oeufs et des produits issus
du lait et du miel.
S’opposant au dogme établi selon lequel l’Homme est un
omnivore, cette attitude, aussi généreuse soit-elle, est-elle réaliste ?
Ses partisans en sont convaincus, d’autant plus que nombre d’entre eux
connaissent rapidement une nette amélioration de leur état de santé et
de leur qualité de vie dès qu’ils débutent ce régime. Mais ces bienfaits
sont-ils durables le temps d’une vie ou ne sont-ils que le
trompe-l’oeil d’un sursaut de l’organisme suite à l’abandon du mode de
vie occidental actuel, au sujet duquel la communauté scientifique
s’accorde pour reconnaître son caractère des plus néfastes ?
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