Les attouchements dans le cadre familial ne justifieront plus la prison…
Le 28 mai 2014
En famille ou entre amis, tout devient permis.
C’est dimanche. La famille est réunie
pour fêter la naissance du petit dernier. Tonton est là, et pour fêter
l’événement dans les règles, il a un peu forcé sur l’apéro et le reste.
Il fait sauter son adorable petite nièce sur ses genoux et, il faut le
comprendre, il ne sait plus très bien ce qu’il fait. Ses mains, à force
de chatouiller le petit corps tout frais tout beau, deviennent
malencontreusement baladeuses. Bah, tout le monde étant peu ou prou dans
le même état que lui, personne ne le remarquera et puis la petite,
hein, elle n’ira pas raconter ce que lui a fait le gentil tonton.
Eh bien, même si la petite allait rapporter la scène à ses parents, même si ces derniers portaient plainte pour attouchements sur mineur de moins de 15 ans, bientôt, grâce à la loi Taubira, tonton – coup dans le pif ou non – ne risquera plus rien… C’est ce qu’on apprend dans Le Figaro. Selon les cas d’application de la nouvelle contrainte pénale , « les attouchements dans le cadre familial ne justifieraient plus la prison » parce qu’« il y a des infractions sexuelles qui ne signalent pas un ancrage dans une délinquance particulière », a expliqué le rapporteur de la loi, le député PS Dominique Raimbourg. Des femmes sexuellement agressées la nuit, c’est grave, dit-il. Mais violer l’intimité d’une petite fille ou d’un petit garçon de sa famille, c’est… un non-événement ?
D’ailleurs, alors que ne devaient être au départ concernées par cette réforme pénale que les peines inférieures ou égales à cinq ans de prison – ce qui était déjà très inquiétant –, un amendement déposé par deux femmes députés PS – Élisabeth Pochon et Colette Capdevielle – doit l’étendre à l’ensemble des délits comme celui, donné en exemple par Dominique Raimbourg, du « petit trafiquant » qui fume du cannabis dans une soirée entre amis (et risque actuellement dix ans de prison). En somme, en famille ou entre amis, tout devient permis. C’est un bon début.
Devons-nous être surpris quand les standards européens de l’éducation sexuelle prônent la masturbation dès le berceau ? Devons-nous être surpris quand le Guide d’intervention dans les collèges et lycées écrit que « les élèves devront avoir pris conscience que la sexualité commence dès la naissance, évolue à chaque phase de la vie et ne se résume pas au seul acte sexuel » ? C’est tonton qui va être content. Coup dans le nez ou pas, avec Taubira, il va avoir le droit.
Les temps changent, la société évolue, dit-on. Des faiseuses d’anges ont été exécutées. Maintenant des Audrey Pulvar demandent « À partir de quand une femme aurait-elle trop avorté ? ». Bernard Hanse, professeur injustement accusé de pédophilie, s’est suicidé. Aujourd’hui, les oncles ou grands-pères pédophiles ont le champ libre.
On commence par la pédophilie en famille et le cannabis entre amis. Le cannabis et la pédophilie en famille et entre amis, c’est pour demain ?
Alors déduction, la loi permet toute dérive sexuelle sur les enfants puisque les coupables ne seront plus incarcérés. La ministre, pour ne pas la citer, Mme Taubira sabote la justice, que fait-elle au gouvernement on se le demande ?
Eh bien, même si la petite allait rapporter la scène à ses parents, même si ces derniers portaient plainte pour attouchements sur mineur de moins de 15 ans, bientôt, grâce à la loi Taubira, tonton – coup dans le pif ou non – ne risquera plus rien… C’est ce qu’on apprend dans Le Figaro. Selon les cas d’application de la nouvelle contrainte pénale , « les attouchements dans le cadre familial ne justifieraient plus la prison » parce qu’« il y a des infractions sexuelles qui ne signalent pas un ancrage dans une délinquance particulière », a expliqué le rapporteur de la loi, le député PS Dominique Raimbourg. Des femmes sexuellement agressées la nuit, c’est grave, dit-il. Mais violer l’intimité d’une petite fille ou d’un petit garçon de sa famille, c’est… un non-événement ?
D’ailleurs, alors que ne devaient être au départ concernées par cette réforme pénale que les peines inférieures ou égales à cinq ans de prison – ce qui était déjà très inquiétant –, un amendement déposé par deux femmes députés PS – Élisabeth Pochon et Colette Capdevielle – doit l’étendre à l’ensemble des délits comme celui, donné en exemple par Dominique Raimbourg, du « petit trafiquant » qui fume du cannabis dans une soirée entre amis (et risque actuellement dix ans de prison). En somme, en famille ou entre amis, tout devient permis. C’est un bon début.
Devons-nous être surpris quand les standards européens de l’éducation sexuelle prônent la masturbation dès le berceau ? Devons-nous être surpris quand le Guide d’intervention dans les collèges et lycées écrit que « les élèves devront avoir pris conscience que la sexualité commence dès la naissance, évolue à chaque phase de la vie et ne se résume pas au seul acte sexuel » ? C’est tonton qui va être content. Coup dans le nez ou pas, avec Taubira, il va avoir le droit.
Les temps changent, la société évolue, dit-on. Des faiseuses d’anges ont été exécutées. Maintenant des Audrey Pulvar demandent « À partir de quand une femme aurait-elle trop avorté ? ». Bernard Hanse, professeur injustement accusé de pédophilie, s’est suicidé. Aujourd’hui, les oncles ou grands-pères pédophiles ont le champ libre.
On commence par la pédophilie en famille et le cannabis entre amis. Le cannabis et la pédophilie en famille et entre amis, c’est pour demain ?
Alors déduction, la loi permet toute dérive sexuelle sur les enfants puisque les coupables ne seront plus incarcérés. La ministre, pour ne pas la citer, Mme Taubira sabote la justice, que fait-elle au gouvernement on se le demande ?
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