On en parle beaucoup aujourd’hui, la Stévia, cette plante qui poussent à l’origine en Amérique Latine, se cultive aussi dans le Tarn. Elle a le goût du sucre mais sans le sucre
Collectionneurs de plantes. L’équipe de Silence ç...a Pousse est allée voir ce qui animait leur passion. Peut-être réussiront ils à vous la transmettre !
La plante de la semaine sera douce. C’est l’Heuchera Villosa “Autumn Bride”
Visite dans le jardin de Gérard Jean à Pellinec dans les Côtes d’Armor, où depuis une quinzaine d’années, cet heureux propriétaire a transformé cette ancienne colonie de vacances en fabuleux jardin.
PDP chez Odile et Pierre.
Après de nombreuses tentatives, Odile n’a toujours pas trouvé de solutions pour maitrîser la nature et ne parvient plus à redonner du trait à ses plates-bandes. Stéphane a quelque chose à leur proposer….. Surprise !!!
L’invité cet semaine a eu la belle idée de faire des potagers sur les toits. Oui mais il ne les fait pas comme les autres ! Explications avec Nicolas Bel de Topager.com
P.S Pour nettoyer les cuivres se servir d'oseille bouillie. Cuire l'oseille dans du verre, cuivre, ... seul l'acier noircit.
Collectionneurs de plantes. L’équipe de Silence ç...a Pousse est allée voir ce qui animait leur passion. Peut-être réussiront ils à vous la transmettre !
La plante de la semaine sera douce. C’est l’Heuchera Villosa “Autumn Bride”
Visite dans le jardin de Gérard Jean à Pellinec dans les Côtes d’Armor, où depuis une quinzaine d’années, cet heureux propriétaire a transformé cette ancienne colonie de vacances en fabuleux jardin.
PDP chez Odile et Pierre.
Après de nombreuses tentatives, Odile n’a toujours pas trouvé de solutions pour maitrîser la nature et ne parvient plus à redonner du trait à ses plates-bandes. Stéphane a quelque chose à leur proposer….. Surprise !!!
L’invité cet semaine a eu la belle idée de faire des potagers sur les toits. Oui mais il ne les fait pas comme les autres ! Explications avec Nicolas Bel de Topager.com
Polygonum polystachyum
Cette plante, peu connue, est appréciable pour son aspect sauvage et son excellent caractère. N’hésitez pas à planter ce polygonum pour agrémenter le pourtour d’une mare ou d’un grand bassin, ou masquer rapidement le fond d’une plate-bande fraîche.
A.Petzold - Rustica - Le CLos du Coudray
Le polygonum polystachyum formera un beau buisson de hautes tiges rougeâtres, se tenant bien sans tuteurage, garnies d’un beau feuillage luxuriant, vert clair. A leur extrémité, s’épanouissent, en fin d’été, des grappes de fleurs fines d’un blanc crème, exhalant un agréable parfum de miel. Le mariage du feuillage vert, des tiges rouges et des fleurs blanches est très harmonieux. Cette floraison vaporeuse qui dure plus d’un mois reste décorative même lorsqu’elle fane. Puis, le feuillage se pare de belles couleurs dorées avant de tomber.
Vigoureux et très facile à cultiver, ce polygonum décourage la pousse de toute mauvaise herbe. Cette vigueur a un défaut : il faut laisser de l’espace autour de la plante, car ses racines s’étalent en drageonnant. Des végétaux fragiles, plantés trop près, risqueraient alors d’être étouffés.
Installez le polygonum polystachyum sur les berges d’un petit ruisseau entre des arbustes (spirées et cornouillers) face à des lobélias bleus (L. sessiliflora). Lorsqu’il devient trop envahissant et déborde de l’espace qui lui est réservé, arrachez les drageons en automne ou au printemps quand les bourgeons réapparaissent. Toutefois, des arbustes denses arrivent à le contenir un peu.
Culture
Installez-les au soleil ou à la mi-ombre dans une terre riche, argileuse, qui reste fraîche. Elles s’installeront rapidement et formeront un bel écran de feuilles et de fleurs. Vous obtiendrez de belles scènes d’automne en les associant à des ligulaires, des grands rudbeckias (R. laciniata), des eupatoires rugosa ou des cornouillers.
Entretien
Il est très réduit. En fin d’automne, rabattez à ras du sol les tiges fanées. Surveillez l’extension de la plante : si elle est installée dans une plate-bande exiguë, arrachez les drageons qui se développent autour des souches.
Vigoureux et très facile à cultiver, ce polygonum décourage la pousse de toute mauvaise herbe. Cette vigueur a un défaut : il faut laisser de l’espace autour de la plante, car ses racines s’étalent en drageonnant. Des végétaux fragiles, plantés trop près, risqueraient alors d’être étouffés.
Installez le polygonum polystachyum sur les berges d’un petit ruisseau entre des arbustes (spirées et cornouillers) face à des lobélias bleus (L. sessiliflora). Lorsqu’il devient trop envahissant et déborde de l’espace qui lui est réservé, arrachez les drageons en automne ou au printemps quand les bourgeons réapparaissent. Toutefois, des arbustes denses arrivent à le contenir un peu.
Culture
Installez-les au soleil ou à la mi-ombre dans une terre riche, argileuse, qui reste fraîche. Elles s’installeront rapidement et formeront un bel écran de feuilles et de fleurs. Vous obtiendrez de belles scènes d’automne en les associant à des ligulaires, des grands rudbeckias (R. laciniata), des eupatoires rugosa ou des cornouillers.
Entretien
Il est très réduit. En fin d’automne, rabattez à ras du sol les tiges fanées. Surveillez l’extension de la plante : si elle est installée dans une plate-bande exiguë, arrachez les drageons qui se développent autour des souches.
Carte d'identité du polygonum polystachyum
Famille : Polygonacées.
Dimensions : le polygonum polystachyum atteint de 1,20 à 1,80 m de hauteur. Son étalement varie entre 1 et 3 m selon l’âge du sujet.
Distance et profondeur de plantation : prévoyez 1 ou 2 pieds pour occuper 1 m2 de terrain. Le collet doit être au niveau du sol.
Croissance : elle est rapide, car la plante émet des drageons souterrains qui occupent l’espace alentour.
Aspect : de nombreuses tiges vigoureuses se développent au départ de la souche. Teintées de rouge, elles forment un beau buisson portant de grandes feuilles ovales pointues. Ce feuillage dense se pare de belles couleurs automnales avant de tomber.
Floraison : à l’extrémité de chaque tige se développent des panicules de fleurs blanches exhalant un parfum agréable. Très fines, ces fleurs auréolent les touffes d’une floraison vaporeuse qui débute dès la fin août et se poursuit souvent jusqu’en octobre. Les tiges fleuries tiennent bien en vase. Associées aux dahlias, dont elles allègent les fleurs lourdes, elles composent de magnifiques bouquets.
Fructification : les tiges fanées demeurent décoratives.
Sol : le polygonum polystachyum est peu exigeant quant à la qualité de la terre. Celle-ci peut être acide ou calcaire, pourvu qu’elle soit riche et qu’elle reste toujours fraîche, voire humide.
Exposition : le plein soleil ou la mi-ombre conviennent.
Climat : originaire de l’Himalaya et de Sibérie, ce polygonum est rustique et pousse en toutes régions.
Résistance : cette plante n’est jamais malade.
Dimensions : le polygonum polystachyum atteint de 1,20 à 1,80 m de hauteur. Son étalement varie entre 1 et 3 m selon l’âge du sujet.
Distance et profondeur de plantation : prévoyez 1 ou 2 pieds pour occuper 1 m2 de terrain. Le collet doit être au niveau du sol.
Croissance : elle est rapide, car la plante émet des drageons souterrains qui occupent l’espace alentour.
Aspect : de nombreuses tiges vigoureuses se développent au départ de la souche. Teintées de rouge, elles forment un beau buisson portant de grandes feuilles ovales pointues. Ce feuillage dense se pare de belles couleurs automnales avant de tomber.
Floraison : à l’extrémité de chaque tige se développent des panicules de fleurs blanches exhalant un parfum agréable. Très fines, ces fleurs auréolent les touffes d’une floraison vaporeuse qui débute dès la fin août et se poursuit souvent jusqu’en octobre. Les tiges fleuries tiennent bien en vase. Associées aux dahlias, dont elles allègent les fleurs lourdes, elles composent de magnifiques bouquets.
Fructification : les tiges fanées demeurent décoratives.
Sol : le polygonum polystachyum est peu exigeant quant à la qualité de la terre. Celle-ci peut être acide ou calcaire, pourvu qu’elle soit riche et qu’elle reste toujours fraîche, voire humide.
Exposition : le plein soleil ou la mi-ombre conviennent.
Climat : originaire de l’Himalaya et de Sibérie, ce polygonum est rustique et pousse en toutes régions.
Résistance : cette plante n’est jamais malade.
Plantez des framboisiers
01/10/2014
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire