Curiosité politique
Publié le 6 Décembre 2015
constat du jour.
Quiconque
aura parcouru les divers réseaux sociaux dans la semaine précédent le
premier tour des élections régionales aura pu faire un constat pour le
moins interpellant.
Absence du PS (serait-ce à dire qu'à chaque promesse trahie, à chaque mensonge,
à chaque atteinte aux libertés sa base militante se
"peaudechagrinerait" ? Même le filoche'rose band semble frappé de
mutisme. Serait-ce un acquis du scrutin et une (première?) victoire du
mouvement populaire.
Plus
préoccupant la montée en puissance dans la mailosphère se bardant de
communisme, parmi les "ceusses qui savent ce qui est bon pour le peuple
de gôche" cette tendance affirmée à stigmatiser celles et ceux qui ont
décidé après moults réflexions de ne pas aller voter. Marquant ainsi le
rejet des "combinationes strapontinesques" passées et annoncées tout en
manifestant leur refus de sanctionner par un vote pour la droite et son
extrême. Une preuve de conscience politique qui fait hurler ceux qui
s'autoproclamme dépositaire de la pensée prigressiste...qu'ils ont mis
en remorque des trahison socil-démocrate.
Cela tourne parfois à l'injure voir la menace.
Pourtant
qui est le plus démocrate et progressiste ? Celle ou celui qui rejette
l'état d'urgence ou ceux qui ne le combattent pas voir le soutiennent?
Qui
est le plus en phase avec le mouvement populaire celle ou celui qui
combat ce pouvoir ou celui qui durant une période après avoir voté ses
budgets maintenant accepte des thèmes les plus réactionnaire comme la
déchéance de nationalité ?
Qui
est en résonnance avec les exigences populaires ? Ceux qui luttent pour
les services public ou ceux qui dans les régions ont cogerés
l'explosion de la SNCF, ceux qui ne demandent plus la nationalisation
des grands services publics en réseau, ceux qui ont accepté les PPP et
la privatisation de services et activités entiers dans les hopitaux
(restauration, blanchisseries, transports des patients), ceux qui
accepte la privatisation des OP-HLM ? La liste n'est pas close.
Longtemps
(trop), jusqu'en 2002, Canaille le Rouge a cru qu'il était possible de
faire une réhabilitation lourde de la maison vermoulue. Le fait pour ses
occupants d'accepter de s'aligner derrière les tenants des politiques
régressives soit disant pour en lmimiter les excès les a conduit à les
cautionner puis les défendre. Voter aussi pour eux revient à laisser
croire qu'ils pourraient changer alors que tous montre (et la semaine
prochaine va le confirmer) que ce qui fut une dérive maintenant devenu
un cap tracé à l'intrieur de l'UE et ses cartes établies par la BCE et
la commission européenne, le Capital fisant les amers, le tout validées
par le groupe GUE. Cela conduit le mouvement populaire et la société
française à la catastrophe. Voter pour eux reviendrait à leur donner
quitus.
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