vendredi 21 septembre 2012


Vacances à Paimboeuf, estuaire de Loire. Paimboeuf est situé entre Saint-Nazaire (chantiers de l’Atlantique et aérospatial. Là où est né le Bélouga (avion qui transport les tronçon d’avion à toulouse) et entre Nantes.


Arrvée :

A notre descente de l’avion, nous avons eu un grand moment d’émotion .

 

Rien n’est plus agréable de passer ces vacances auprès des siens. La mer nous a révélé ses secrets : sable, océan, coquillages et crustacés ont été sujets à milles et une question.  Je me suis intéressée à leurs vies, leur milieu aquatique. Bref, j’ai appris pleins de choses.

Quelques photos pour illustrer mes vacances avec mon petit frère Nassim, mon grand frère Dadi, Maman bien sûr (je ne me sépare jamais de ma maman et de mamie de Nantes.

Mon petit frère voulais manger avec nous à table il a fait de grands progrès : il grandit
 
 

 

les langoustines                   A l’océarnium ? je suis sur une tortue

 


                        La raie

requin

Raie

Il y a tant de belles photos que je ne peux toutes les mettre.

La plage et ses délices. Découvertes de petis crabes (étrilles), crevettes grises bigorneaux. Nous avons suivis un crabes enserrant à l’aide de sa pince avant un bigorneau, il ne voulait pas lâcher sa proie. Le crabes avance de côté, c’est malin 

 

 

!


Mamie a un jardin potager tout fleuri. J’ai appris à cueillir tomates, courgettes, poivrons, vu des courges en croissances ainsi qu’une pastéque. Mamie m’a expliqué que la pluie avait abimé quelques récoltes. J’ai coupé les fleurs fanées. Je me suis éclatée au jardin. La photo en est preuve, je pêche des poissons.

 


Méduse échouée sur le sable. Les méduses au bord de mer sont moins urticantes que celles en eaux profonde donc nous avons pu nous baigner sans crainte.

Aujourd’hui dimanche, nous prenons le chemin des daims à Frossay, petit village typique à la région. Pour vous raconter mon après-midi, je vous mets quelques photos prise de loin lors du spectacle. La féérie de Leroy merlin et ses chevaliers.

Combat de chevalier



 


 




 

 

 

              

                   

              

               


 

 

 

 


 


Vertèbre de baleine

 

 

 

 

 

   

   


 

 


         

  

Petites carottes primeurs du jardin





 

        

 

Verveine citron du jardin de Mamie

 

 

                             


Romarin ? Nous faisons la cueillette. Maman pourra faire de la tisane cet hiver.


 

 

 


Menthe



Avec Mamie nous préparons le romarin. On le met ensuite dans un appareil et la déshydratation commence pendant plusieurs heures. L’hiver nous serons heureux de retrouver toutes ses plantes aromatiques


 

           

Dans le jardin, Mamie a installé une piscine, nous avons pu mon frère et moi s’arroser au pistolet à eau.  A côté, l’Hermitage de la Baule

                   

Blocos  à Saint-nazaire                                Remorqueur

 Au loin pont de Saint-Nazaire pour aller vers Paimboeuf, saint-brévins et pornic. Je ne peux pas tout mettre mais nous avons passé de super vacances en Loire-Atlantique chez mamie. Maintenant, il faudra attendre l’été prochain.
nos vacances n images






Batz sur mer





toujours en direction du Croisic



 
 
la baule scoublac l'hermitage


 
le croisic
 









le pont de Saint-Nazaire

 
 
Saint-Nazaire en bordure de mer
 



petit pont menant aux chantiers de l'Atlantique
























Blocos de saint-nazaire

vendredi 14 septembre 2012



Lorsque Newton découvre la loi universelle de la gravitation il comprend que si la pomme tombe de l'arbre alors que la Lune ne tombe pas sur la Terre, bien que tous les deux soient attirés par la Terre, c'est parce que la Lune, tournant autour de la Terre, est soumise à une force centrifuge qui tend à la repousser. Il s'agit de la même force centrifuge que celle qui vous projette à l'extérieur d'un manège en rotation.

De la même manière la Terre est à la fois attirée vers la Lune et repoussée. Les océans sont donc soumis à deux forces opposées :

attraction gravitationnelle
force centrifuge

L'intensité de la force centrifuge est constante sur la Terre tandis que l'intensité de l'attraction gravitationnelle est variable car son intensité dépend de la distance à la Lune : plus un point est proche de la Lune, plus l'attraction est forte.

lundi 3 septembre 2012


Un système de tout-à-l’égout intégré au cerveau



Un système de tout-à-l’égout intégré au cerveau
Des chercheurs viennent de mettre en évidence pour la première fois l’existence d’un réseau actif d’évacuation des déchets produits par le cerveau. Des dysfonctionnements dans ce système pourraient expliquer la survenue de maladies neuro-dégénératives comme Alzheimer ou Parkinson.
Comme tous les organes, le cerveau consomme de l’énergie et des nutriments, et il produit des résidus plus ou moins toxiques issus de cette activité métabolique. Une équipe de chercheurs de l’Université de Rochester (Etats-Unis) vient de découvrir que pour éliminer ces déchets, le cerveau utilise un système d’évacuation très organisé basé sur un réseau de canaux de drainage indépendant et parallèle à la circulation sanguine. Ce tout-à-l’égout cérébral, jamais observé jusque-là, assumerait le même rôle que celui joué par le système lymphatique dans le reste de l’organisme. Cette découverte vient d’être publiée dans la revue Science Translational Medicine.
 
 
Lavage de crâne
Canal "glymphatique" entourant une artère cérébrale
« L’élimination des déchets est d’une importance cruciale pour les organes, et on s’est longtemps posé la question de savoir comment le cerveau parvenait à se débarrasser de ses déchets, explique Maiken Nedergaard qui a supervisé l’étude. Nos travaux montrent que le cerveau s’autonettoie d’une manière plus organisée et à une plus grande échelle que ce qu’on imaginait jusque-là. » Ce système d’évacuation, que l’équipe de Maiken Nedergaard a baptisé « système glymphatique », agit d’une manière similaire au système lymphatique à ceci près qu’il s’appuie sur les cellules gliales, des cellules du cerveau distinctes des neurones.
Un système d’évacuation rapide
 
Détail du fonctionnement du système glymphatique
Grâce au système glymphatique, un liquide appelé liquide céphalo-rachidien (LCR) est perfusé dans le tissu nerveux cérébral. Sous pression, le LCR entraîne ensuite avec lui les déchets accumulés dans le tissu nerveux, avant d’être drainé et recollecté par d’autres conduites du système glymphatique qui l’évacuent finalement dans la circulation sanguine. Jusqu’alors, on pensait que le « nettoyage » du cerveau se faisait exclusivement par diffusion passive du LCR depuis les ventricules cérébraux, un mécanisme d’évacuation très lent pour un organe aussi actif que le cerveau. Le système glymphatique est non seulement plus rapide, mais il permet également d’atteindre des zones plus reculées du tissu cérébral. « Étant donné l’intense métabolisme du cerveau et son extrême sensibilité, il n’est pas étonnant que son mécanisme d’évacuation des déchets soit plus spécialisé et étendu que ce que l’on pensait auparavant », affirme Maiken Nedergaard.
Toujours est-il qu’on peut s’étonner qu’un système aussi fondamental pour le bon fonctionnement cérébral ait pu jusque-là échapper à la sagacité des chercheurs. La principale raison est que ce système glymphatique ne fonctionne que dans un cerveau vivant et uniquement lorsqu’il est intact : il était donc impossible de l’observer sur des cerveaux prélevés post-mortem et les procédés de visualisation disponibles ne permettaient pas jusqu’à peu de le détecter chez des sujets vivants. Les chercheurs ont cette fois eu recours à une technique récente, appelée microscopie à 2 photons, qui permet de visualiser en temps réel les flux de sang et de LCR dans le cerveau d’un animal vivant.
Alzheimer en ligne de mire
Bien que leur étude porte sur des cerveaux de souris, les auteurs pensent qu’un système identique existe chez l’homme dont le cerveau est très proche de celui du petit rongeur, du moins sur le plan physiologique. Cette découverte pourrait donc avoir d’importantes applications thérapeutiques, notamment dans le traitement des pathologies neurodégénératives, telles les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson. Les chercheurs ont ainsi constaté que plus de la moitié des agrégats de bêta-amyloide – une protéine qui s’accumule dans le cerveau des patients souffrant d’Alzheimer- sont éliminés via le système glymphatique. « Si le système glymphatique ne parvient plus à nettoyer le cerveau comme il devrait le faire, soit en raison du vieillissement, soit suite à un traumatisme, les déchets vont s’accumuler dans le cerveau, précise Jeffrey Illiff, l’un des coauteurs de l’étude. Augmenter l’activité du système glymphatique permettrait probablement de prévenir l’accumulation des dépôts amyloïdes, voire offrirait un moyen de liquider les agrégats accumulés lorsque la maladie d’Alzheimer est déjà établie. »