mardi 10 décembre 2013

J'eusse été citoyen de quelque république

J'eusse été citoyen de quelque république 
Songe de Pythagore, oeuvre d'un Dorien, 
Harmonieux état réglé par la musique, 
Où la loi se conforme au rythme aérien.

Puis, dans une agora, j'aurais avec ivresse 
Admiré longuement les poses et les sons 
De ces beaux orateurs dont la phrase caresse 
L'oreille inattentive aux rigides leçons,

Et devant la tribune, étendu sur le stade, 
J'aurais senti descendre à moi, sous un ciel clair, 
Le flot sonore et pur qu'épanche Alcibiade, 
Et monter le murmure éloquent de la mer.

Ô la vie adorable, élégante et facile ! 
Du lierre sur le front, des myrtes dans les mains, 
Les jardins embaumés où le sage s'exile, 
Et l'accueil de la flûte au détour des chemins !

Ainsi, franc de remords, étranger à la plainte, 
De mon droit au bonheur fermement convaincu, 
Un jour je serais mort sans regret et sans crainte, 
Harmonieusement, comme j'aurais vécu !

Keny Arkana - Ordre mondial

Ce Que Vous Auriez du Apprendre en Histoire

mardi 12 novembre 2013

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 La dette : l’une des arnaques les plus ingénieuses de manipulation sociale jamais créée ! »

« La dette : l’une des arnaques les plus ingénieuses de manipulation sociale jamais créée ! » / MetaTV
La dette existe depuis bien longtemps. Cependant, peu d'entre nous en connaissent l'origine. Actuellement on parle beaucoup de la dette publique que les citoyens et pays doivent s'efforcer de rembourser. Elle est apparue à cause de nombreux facteurs complexes. Mais il existe un grand facteur qui a amorcé celle-ci. Elle ne fera que s'alourdir si on ne change pas radicalement de système bancaire.

Tout d’abord il est intéressant de nous poser ces questions suivantes ;
- Pourquoi travaillons-nous ? Pour avoir de l'argent pour se nourrir et acquérir des biens.
- Mais qui détient et contrôle l'argent ? Les réserves fédérales et les banques commerciales.
- Comment est apparu l’argent (=les billets de banques actuels) ? Lorsque les orfèvres du 17ème siècle ont proposé de rendre un reçu (= devenu les billets d’aujourd’hui) aux clients qui leur confiait leur or destiné au coffre-fort (de l’orfèvre).
- Comment les réserves et les banques d’aujourd’hui créent cet argent ? Lorsque que l'on demande un emprunt.
- A partir de quoi crée-t-elle cet argent ? A partir de rien ! (c'est là que le système bloque).
- Que signifie donc alors l'argent ? C’est une dette, plus on fait d'emprunts, plus il y a dettes, plus l'argent circule, moins cet argent a de la valeur et la vie coûte plus cher. Tout cela fait apparaître l'inflation.
- Et les intérêts demandés par la banque dans tout cela ? C'est un système frauduleux de la banque pour gagner encore plus d’argent, et il n'existe pas assez d'argent permettant de couvrir tous ces intérêts. (Les intérêts excèdent toujours l'argent mis en circulation).
Pourtant il faut savoir qu’il n'existe aucune loi dictant que l'argent peut être créé à partir de rien. Ce n'est donc pas obligatoirement de l'argent qui appartient à une banque qui sera mise en circulation lorsqu'on demande un emprunt. Le système s'effondrerait directement si tout le monde reprenait l'argent des banques. De plus elle s'octroie le droit de nous saisir nos biens si l'on ne peut rembourser les intérêts. Alors que ces derniers proviennent d'un argent dont la banque n’a elle-même jamais eu en sa possession. C’est ce qu'on appelle « l'esclavage moderne ».
Une proposition de loi a été soumise dans le passé proposant une monnaie indépendante, sans création de dette (la green back). Mais le système bancaire à cette époque (et encore aujourd’hui) préconisait que le capital doit contrôler le travail en contrôlant les salaires et donc l’argent. Il refusa alors cette demande.
Les banques sont de véritables calomnies car elles nous soustraient à notre réelle liberté. Si tout le monde prend conscience de cette immense arnaque on pourrait faire changer les choses. L’argent est resté un sujet tabou trop longtemps il est temps que cela change. Je vous invite à en parler autour de vous, à vos proches et votre famille.
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lundi 4 novembre 2013

https://www.lapetition.be/en-ligne/Pour-une-reconnaissance-de-la-Fibromyalgie-13557.html?utm_medium=share&utm_campaign=sign_pet

malade,obligée de faire venir le médecin de famille (moi puisque je vis seule depuis que mon mari soit décédé), donc antibiotiques .gentil mon toubib et surtout très très compètent. j'ai mis l'ordi sur le lit, et je tape quelques mots. pourtant il est 18 heures, moi qui suis une remuante, j'ai pas bougée de mon lit.
c'est moi, en pleine pose repos obligatoire. je vais pas mieux, la sinusite que j'ai est tuante. ras ras le bol d'être malade ! le plus grand trésor que l'on peut avoir dans la vie c'est la santé

mardi 29 octobre 2013

Bonsoir à tous ce qui s'intéresse à mon blog



je me suis démarquée par mon absence prolongée, parfois on ne fait pas toujours ce que l'on voudrai !
eh bien, me revoilà! 
j'ai pleins de choses à dire... je reprends bientôt. j'ai pris pleins de photos, pris des notes. à plus                                                                   


mardi 1 janvier 2013

co Longari afp.com


 Une forêt à Madagascar

BIODIVERSITE - La liste rouge de l'UICN actualisée a été présentée au sommet d'Hyderabad...

Quelque 400 espèces animales et végétales ont rejoint la liste des espèces menacées d'extinction dévoilée mercredi à Hyderabad, en Inde, où la conférence de l'ONU sur la biodiversité est entrée dans sa dernière ligne droite en présence de plus de 70 ministres. «Il n'y a pas une seule façon de mesurer le déclin de la biodiversité, c'est complexe, mais la Liste rouge est la meilleure mesure dont nous disposons», a souligné Jane Smart, directrice mondiale du groupe de conservation de la biodiversité de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

4.088 espèces en danger critique d'extinction

Cette actualisation de ce registre de référence comprend 65.518 espèces, dont près du tiers (20.219) est menacé d'extinction, avec 4.088 espèces en danger critique d'extinction, 5.919 en danger et 10.212 vulnérables. Plus de 400 végétaux et animaux ont rejoint la liste des espèces menacées depuis la dernière version, présentée en juin lors du sommet de Rio+20. Deux invertébrés, une blatte des Seychelles et une espèce d'escargot d'eau douce, ont intégré la catégorie des espèces considérées comme éteintes.
Les experts de l'UICN ont aussi insisté devant la presse sur la situation «terrifiante» des palmiers de Madagascar, l'un des sites les plus riches au monde en termes de biodiversité. L'île compte 192 espèces de palmiers uniques au monde dont plus de 80% sont menacés d'extinction alors que certaines populations parmi les plus pauvres en dépendent pour la nourriture et les matériaux de construction. Cette disparition est principalement due au défrichage des terres pour l'agriculture et à l'exploitation des forêts. Le Tahina, ou «palmier suicidaire», est ainsi classé en «danger critique d'extinction», le stade le plus élevé avant la disparition constatée: seuls trente représentants de cette espèce de palmiers géants pouvant atteindre 18 mètres de haut existeraient encore.
Une autre étude publiée lundi soulignait que les lémuriens de Madagascar figurent désormais parmi les primates les plus menacés de la planète, en raison de la destruction de leur habitat et du braconnage. «Madagascar est une région d'une absolue priorité» pour la biodiversité, a insisté Russell Mittermeier, spécialiste de l'île et président de l'ONG Conservation International.

150 à 440 milliards de dollars nécessaires

Cette piqûre de rappel de l'UICN intervient alors que plus de 180 pays sont réunis à Hyderabad pour la conférence de l'ONU sur la biodiversité visant à tenter d'endiguer cette érosion toujours plus rapide des espèces. Les discussions, entamées le 8 octobre au niveau technique, se poursuivaient à partir de mercredi, pour les trois derniers jours de la conférence, au niveau gouvernemental avec plus de 70 ministres présents dans le sud de l'Inde. Les discussions achoppent principalement sur les engagements financiers qui pourraient être pris pour atteindre les 20 objectifs pour 2020 adoptés à Nagoya (Japon) en 2010, comme la lutte contre la surpêche ou le développement des aires protégées sur terre et en mer.
Des experts chargés de conseiller les négociateurs ont chiffré ces besoins entre 150 et 440 milliards de dollars (environ 115 à 340 milliards d'euros) par an, a rapporté mercredi l'économiste Pavan Sukhdev, auteur d'un rapport sur la valeur économique des services rendus par la nature. Les financements publics et de mécénat en faveur de la biodiversité sont actuellement estimés à quelque 10 milliards de dollars par an. «Le coût de l'inaction est quelque chose que les gens commencent seulement à évaluer», a souligné le directeur exécutif du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), Achim Steiner.