mercredi 11 novembre 2015

Immigration : » s’endetter, c’est s’enrichir » . Voilà le discours orwellien, délirant de la Commission européenne.

Immigration : « S’endetter, c’est s’enrichir » , Plus il y a de « takers », plus on est un pays riche; la France est bien plus riche que l’Allemagne, elle a plus de chômeurs et de « takers » en général!

Plus il y a de « takers », plus on est un pays riche; la France est bien plus riche que  l’Allemagne, elle a plus de chômeurs et de « takers » en général!



Lisez cette idiotie ci-dessous; bien sur Moscovici est socialiste donc il considère que l’afflux de gens qui demandent, et qui consomment est une richesse pour la France.  Vous ne le saviez pas, mais en régime socialiste, la richesse, c’est la capacité à demander, à consommer et donc à être ce que nous appelons des « takers »,  des bénéficiaires  de la répartition.
Plus il y a de « takers », plus on est un pays riche; la France est bien plus riche que  l’Allemagne, elle a plus de chômeurs et de « takers » en général! En Chine on dit qu’un pays est riche s’il y a beaucoup de gens qui produisent et peu de gens qui consomment. En France c’est l’inverse, qui est socialiste, la Chine ?

Par ailleurs si « la volonté politique permet de les intégrer au marché du travail », pourquoi n’exerce-t-on pas cette volonté politique au profit de nos  16% de sous-employés ou chômeurs? Aux profits de nos jeunes ? Les nôtres  sont-ils des fainéants?
Avec Moscovici, c’est l’économie sur la tête, on va augmenter  le poids des inactifs pendant une durée de 3 à 7ans (ce sont les études officielles) , on va augmenter les ponctions pour financer leur prise en charge ou bien augmenter les déficits et les dettes. Alors pourquoi lutter contre les déficits, pourquoi essayer de limiter les dettes? Alors pourquoi la hausse du nombre de nos  inactifs, de nos  retraités bref, pourquoi le poids croissant de tous ceux qui ne produisent  rien  n’est-il pas une richesse? Pourquoi retarder l’âge de la retraite? Réponse, parce qu’ils sont Français !

Lisez cette stupidité :

« Contrairement à une idée reçue (…) l’afflux de migrants a un impact positif sur la croissance », a assuré ce matin au micro de RTL, le commissaire européen aux Affaires économiques et financières, Pierre Moscovici. « Nous l’estimons entre 0,2% et 0,3% au sein de l’Union Européenne, plus dans les pays où il y a un accueil fort, parce que ces hommes et ces femmes viennent pour travailler et consommer (…) mais aussi (…) et cela  ans, dépend d’une volonté politique, qu’ ils s’intègrent sur le marché du travail », a-t-il ajouté.


Bruno Bertez Le 9 Novembre 2015

Immigration : « S’endetter, c’est s’enrichir »


6 novembre 2015 Le Peuple

Immigration :  » s’endetter, c’est s’enrichir » . Voilà le discours orwellien, délirant de la Commission européenne. Le discours est mensonger et tente de cacher sous le tapis les immenses problèmes que l’Europe est en train de se créer en n’appliquant pas ses propres lois et en ouvrant toutes grandes les portes de l’immigration, pourtant refusée par une majorité des populations d’Europe. Le colporteur principal de ces mensonges, c’est le Commissaire européen, Pierre Moscovici, qui a été le pire ministre des Finances français, avant de se faire recaser, dans le doute de tous, à Bruxelles! Voici ce qu’il dit lors d’une conférence de presse:

Pierre Moscovici et Jean-Claude Juncker: les dignes représentants de la pire Commission européenne de l'Histoire.
Pierre Moscovici et Jean-Claude Juncker: les dignes représentants de la pire Commission européenne de l’Histoire.
« L’afflux de réfugiés en Europe devrait avoir un impact sur la croissance économique qui serait faible, mais positif pour l’Union européenne dans son ensemble ». Moscovici a estimé que cet impact devrait « augmenter le produit intérieur brut (PIB) de 0,2 à 0,3 % d’ici 2017″. Cette évaluation prend en compte les dépenses publiques supplémentaires, ainsi que l’apport de main-d’oeuvre supplémentaire sur le marché du travail », a-t-il précisé.
« http://www.lepoint.fr/europe/trois-millions-de-migrants-doivent-arriver-en-europe-d-ici-2017-05-11-2015-1979486_2626.php
Sur le plan économique, c’est une hérésie! Il suffit de lire l’étude réalisée par l’IDDE pour comprendre que l’immigration est au contraire très coûteuse. A en croire Moscovici : les pouvoirs publics doivent dépenser x milliards € pour l’immigration qu’il faut prendre dans un budget qui n’a pas été prévu. Ces x milliards permettent l’engagement de personnes, de faire vivre les ONG et institutions d’Etat et génèrent des recettes TVA, ONSS, impôts (sauf pour les bénéfices d’ASBL ndlr). Fort bien.
D’où vient l’argent (dans chacun des pays de l’Union)? Des caisses de l’Etat qui est déjà, le plus souvent, en déficit structurel annuel. Etat qui doit donc, ou bien supprimer des dépenses prévues (et donc les retours fiscaux sur ces dépenses et donc match nul), ou bien passer par la case impôts (et donc moins de pouvoir d’achat des particuliers et donc de recettes TVA et autres – rematch nul), ou bien passer par la case accroissement de la dette car il faudra emprunter encore plus avec paiements d’intérêts sur ces emprunts (rerematch nul).
Pour Moscovici (PS), faire entrer 3 ou 5 millions de migrants va nous enrichir!
C’est exactement ce que font nos « Etats-Providence » depuis des décennies : on s’endette, on dépense allègrement sans s’occuper des moyens disponibles … Si le PIB augmente de 0,2% (on est en fait dans la marge d’erreur – ndlr), de combien augmentera le solde net à financer actuel (Budget des Voies et moyens) ? De combien augmentera la dette publique et sa charge ?
La Commission européenne prend les gens pour de vrais cons! Avec le même raisonnement : augmentons les allocations de chômage et cela augmentera le PIB. Ou encore: 3 ou plutôt 5 millions d’immigrants, ce n’est pas assez. Venez, venez pour augmenter le PIB.
Cette évaluation « vient combattre un certain nombre d’idées reçues et conforter la politique du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker » (qui plaide pour la solidarité vis-à-vis des migrants), a poursuivi Pierre Moscovici.
Typiquement du Novlangue … En effet, cela « vient combattre des idées reçues ». On connaissait déjà le slogan de Big Brother « La guerre, c’est la paix ». La Commission européenne invente : « Dépenser, c’est gagner ! S’endetter, c’est s’enrichir ! »
C’est ça, la politique de la Commission Juncker? Cette Europe-là ne représente plus les citoyens européens. C’était bien la Commission de la dernière chance et il n’y en aura pas d’autre. Le divorce entre le peuple et ses dirigeants devient irrémédiable. Moscovici et Juncker sont les fossoyeurs de l’Europe.
P.H. et L.R.
http://lepeuple.be/immigration-sendetter-cest-senrichir-dit-la-commission/55080


L’Allemagne a un gros problème démographique, pourtant pas nécessairement celui que l’on croit. Si sa population reste en effet stable avec un peu plus de 80 millions d’habitants, c’est l’âge de sa masse salariale qui menace de faire dérailler son économie car elle augmente dangereusement le ratio de dépendance, c’est-à-dire la proportion de ceux qui travaillent et qui contribuent à soutenir les sans emplois. L’Office fédéral des statistiques de ce pays n’avait-il pas calculé (en avril 2015) que le nombre des 20-65 ans diminuerait de 49.2 millions à 48.8 en 2020, sur la base d’une immigration qui s’effondrerait de 500’000 annuellement à 100’000 à l’horizon de la fin de la décennie actuelle ?

Selon ces barèmes de calcul, la masse salariale dans ce pays ne se maintiendrait au niveau actuel des 49.2 millions de travailleurs âgés entre 20 et 65 ans qu’à la condition expresse d’une immigration annuelle d’au moins 200’000 personnes. Dès lors, ce problème semble aujourd’hui réglé grâce à l’afflux massif de réfugiés, à condition toutefois que celui-ci se maintienne dans la durée… Pas vraiment en fait car cette ruée sur l’Allemagne comme cet afflux irrésistible de main d’oeuvre ne font en réalité que déplacer le problème. En l’occurrence, de le reléguer au reste de l’Europe qui se voit une fois de plus sommée de gérer tant bien que mal les décisions unilatérales de la maîtresse des lieux européens.

Car, d’une manière ou d’une autre, c’est le salaire minimum allemand (de €8.50 par heure) qui sera remis en question par cette arrivée massive de travailleurs syriens et levantins principalement concentrés dans ce pays. Si ce salaire minimum ne pourra être réduit dans l’immédiat pour des motifs légaux ou simplement éthiques, l’augmentation massive du nombre de salariés agira insidieusement en comprimant le salaire minimum réel et, ce, de manière indirecte. Cet afflux d’hommes et de femmes disposés à accepter un emploi au salaire minimum brouillera logiquement l’ensemble du spectre de l’emploi, et entraînera à la baisse le niveau d’exigence des travailleurs situés dans cette fourchette des salaires.

Au final, ce plancher de verre du salaire minimum finira par céder, ou sera à tout le moins contourné par le travail gris et par d’autres moyens plus ingénieux. A l’évidence, c’est l’ensemble de l’Union qui en souffrira d’autant plus que les pays du Sud de l’Europe pâtissaient sérieusement de salaires allemands systématiquement à la traîne qui s’apparentaient à une concurrence déloyale déguisée. En conséquence, n’attendons rien de bon de la part des allemands à présent qu’ils ont ouvert les bras à cette masse de réfugiés car c’est à un authentique choc de l’offre de la masse salariale qu’ils vont désormais confronter les autres membres de l’Union. Dans tous les cas de figure, les salaires européens sont condamnés à baisser et la crise européenne à s’aggraver. Laquelle crise fut précisément sous tendue par les écarts du coût du travail entre les différents pays européens.
L’afflux de réfugiés en Allemagne exacerbera donc les déséquilibres qui ne pourront être compensés que par des dévaluations intérieures supplémentaires (c’est-à-dire encore et toujours l’austérité) dans les nations du centre et du sud, faute de réajustements monétaires au sein d’une zone partageant la même monnaie. Bref, la situation du premier exportateur mondial ira en s’améliorant pendant que le reste de ses consœurs européennes peineront à survivre non sans subir des taux de chômage à deux chiffres.
http://www.michelsanti.fr/le-privilege-exorbitant-de-lallemagne/

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