Plus qu'une Honte !!! un outrage à la France !!!
L'Oeil voit qu'avec stratégie l'état fait tout son possible pour bloquer leurs actions et là !!! Comme par magie !!! La justice fonctionner et Honteusement donner des sanctions à des militants qui s'expriment !!!
En France la gangrène qui infeste notre pays elle, s'en sortira toujours avec un petit rappel à la lois !!! Toujours par crainte de représailles !!!
On peu essayer d'égorger un Militaire dans le cadre du plan vigipirate et s'en sortir avec une relaxe directe sous prétexte qu'un islamiste est un déséquilibré qui ne semble plus jouir de toutes ses facultés mentales !!!
Poignarder un Gendarme donne aussi un droit de relaxe !!!
En renverser et en tuer un est là aussi un cas de déséquilibre mental qui donne suite à une relaxe !!!
Tuer 2 Policiers sur le périphérique au volant d'un 4x4 permet aussi d'obtenir une relaxe sous prétexte que l'affaire a été jugée trop longue !!! Mais pour d'autres on saute vite sur l'occasion !!! Trop grave d'exposer une banderole sur un toit !!!
L'Oeil pourrait énumérer au moins 50 centimètres de publication à cet effet !!! Des braqueurs aux agresseurs, aux violeurs, aux tueurs !!!Marseille par exemple !!! Il est à croire que sur place tuer est autorisé !!! Savez vous qui sont les auteurs ??? Non !!! La seule chose que vous savez est uniquement leurs variétés !!! Vous savez ??? Ces chances pour la France que l'état vous prône et protège !!!
Mais rendez vous compte au moins que trop de choses sont Honteuses pour les Français dressés contre le parti en place!!! Telle une dictature, agrémenté d'une Gestapo politique, il est plus important de s'occuper des militants et s'empresser d'utiliser les grands moyens pour les faire taire que d'agir contre la vraie insécurité qui règne en France et qui tout en décimant les nôtres fait disparaitre notre pays tout entier dans le chaos car ingérable, avec l'aval d'une justice aux ordres de ce gouvernement Honteux !!!
Heureusement qu'il ne font pas partie des gens du voyage ou de la cité très sensible du coin !!! Ouf !!! Ils sont simplement Français !!! Aucun "DRAME" à prévoir pour l'état !!!
Comme quoi le pacifisme ne paye absolument pas !!!
Avant de sanctionner, faudrait peut être regarder si on leur a laissé le droit de s'exprimer! Si les manifs étaient autorisées, on en serait pas là.
Nos 2 militants, Antoine et Joffrey, sont sortis du bureau du juge. Ils ont été condamnés respectivement à 70h de travaux d'intérêt général et à 500€ d'amende pour avoir brandi une banderole réclamant L'EXPULSIONS DES ISLAMISTES, le 29 août 2015, sur le toit de la gare d'Arras. (7 de nos militants doivent encore passer en jugement pour cette affaire)
Vers 0 h 30, les riverains de la route de Gravelines commencent à entendre les premiers signes de tension. L’un d’entre eux, réveillé en pleine nuit, témoigne : « Nous sommes pris à partie par les migrants, ça se bagarre. On est canardé à coup de cailloux et de projectiles, certains d’entre eux se sont réfugiés dans notre jardin. » Vers 1 h, les sapeurs-pompiers de Calais sont appelés au rond-point du commandant Cousteau, près du port. Un Syrien menace de se donner la mort. Quelques minutes plus tard, les pompiers sont encore appelés aux abords de la « jungle », où un feu de végétation a été allumé.
Des pierres fracassées, une chaise au milieu de la voie
Dans la zone industrielle des Dunes, proche de la route de Gravelines et de la « jungle » où s’entassent 4 500 migrants selon
le ministère de l’Intérieur (ils étaient encore 6 000 voilà deux
semaines avant les premiers départs volontaires pour des centres
d’accueil partout en France), plusieurs groupes de migrants à pied
marchent dans l’obscurité, de retour d’une tentative de passage ou à la
recherche d’un poids lourd accessible. Ils s’engouffrent dans la «
jungle » par la rue des Garennes, à peine troublés par les échanges de tirs, quelques centaines de mètres plus loin, entre certains migrants et des policiers.
Dans le bidonville, des hommes armés de pierres visent la rocade portuaire.
Juste au-dessus, depuis le pont qui surplombe la « jungle », sous les
gyrophares bleus, les CRS répliquent avec des gaz lacrymogènes. Tel un
festival pyrotechnique, les boules de feu fendent la nuit noire. Vers 1 h 30, une demi-douzaine de poids lourds est coincée sur la rocade,
obligée de s’arrêter sous les dangereux assauts. En plein milieu de la
voie, des pierres fracassées, un meuble et une chaise, qui obligent les
conducteurs à de périlleux zigzags.
L’accès au port fermé : trop dangereux
Au port, autour du terminal car-ferry et dans la zone des Dunes, les véhicules de police s’activent dans tous les sens.
Sortant d’un fourré, deux journalistes d’un quotidien national
cherchent le bon endroit pour obtenir des images. Refoulés par les
forces de l’ordre, ils tentent de nouveau leur chance sur la voie
rapide. Trop tard, elle vient d’être fermée.
Sur l’A16, une voiture de police barre l’accès à l’échangeur menant au port. Trop dangereux. Vers 3 h 30, un pompiste à Calais, désabusé, rapporte : « Des camions déviés n’arrêtent pas de passer. Un chauffeur routier polonais affirme avoir mis cinq heures pour faire Douvres-Calais en raison du bazar ici. »
Depuis Calais, l’accès à la route de Gravelines est fermé. De l’autre côté, depuis le Fort-Vert (commune de Marck), l’accès en direction de la « jungle » est impossible également. Un véhicule de police barre la route. « Ils n’arrêtent pas de caillasser, c’est impossible d’avancer », clame un agent qui s’attend à une nuit pénible. Deux cents mètres plus loin, près du chemin des Dunes qui mène au centre Jules-Ferry où se trouve l’accueil de jour, plusieurs personnes dont on devine les silhouettes ont allumé un feu. Les flammes lèchent la route, une épaisse fumée enveloppe le quartier. Les sapeurs-pompiers de Marck, appelés pour éteindre ce feu, doivent rebrousser chemin car leur sécurité n’est pas assurée.
La situation était en voie d’apaisement ce mardi matin : l’accès à la rocade portuaire a de nouveau été rendu possible en milieu de matinée. Ces scènes d’émeutes se passent à Calais, plus grande ville du Pas-de-Calais, plus que jamais exposée à la pression migratoire.
Le contexte
Environ 6 000 migrants se trouvent actuellement dans la « jungle » de Calais, le camp toléré par l’État installé aux abords du centre d’accueil de jour Jules-Ferry. Des travaux pourl’installation du campement humanitaire de 1 500 places, annoncé par Manuel Valls le 31 août ont débuté début novembre, ainsi que l’augmentation de la capacité d’accueil des femmes et les enfants. Les départs de migrants à destination de centres dans d’autres régions de France ont également débuté, dans le cadre du dispositif annoncé par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Près de 1 000 migrants auraient déjà été éloignés de Calais. Début novembre, le tribunal administratif de Lille a contraint l’État à prendre des mesures d’urgence pour améliorer les conditions de vie des migrants dans la « jungle » de Calais.
Il y a actuellement 1 125 membres des forces de l’ordre mobilisés à Calais pour gérer la pression migratoire et assurer la sécurité des installations du tunnel sous la Manche. la maire de Calais Natacha Bouchart avait manifesté son souhait de voir l’armée intervenir pour « surveiller » sa ville.
L'Oeil voit qu'avec stratégie l'état fait tout son possible pour bloquer leurs actions et là !!! Comme par magie !!! La justice fonctionner et Honteusement donner des sanctions à des militants qui s'expriment !!!
En France la gangrène qui infeste notre pays elle, s'en sortira toujours avec un petit rappel à la lois !!! Toujours par crainte de représailles !!!
On peu essayer d'égorger un Militaire dans le cadre du plan vigipirate et s'en sortir avec une relaxe directe sous prétexte qu'un islamiste est un déséquilibré qui ne semble plus jouir de toutes ses facultés mentales !!!
Poignarder un Gendarme donne aussi un droit de relaxe !!!
En renverser et en tuer un est là aussi un cas de déséquilibre mental qui donne suite à une relaxe !!!
Tuer 2 Policiers sur le périphérique au volant d'un 4x4 permet aussi d'obtenir une relaxe sous prétexte que l'affaire a été jugée trop longue !!! Mais pour d'autres on saute vite sur l'occasion !!! Trop grave d'exposer une banderole sur un toit !!!
L'Oeil pourrait énumérer au moins 50 centimètres de publication à cet effet !!! Des braqueurs aux agresseurs, aux violeurs, aux tueurs !!!Marseille par exemple !!! Il est à croire que sur place tuer est autorisé !!! Savez vous qui sont les auteurs ??? Non !!! La seule chose que vous savez est uniquement leurs variétés !!! Vous savez ??? Ces chances pour la France que l'état vous prône et protège !!!
Mais rendez vous compte au moins que trop de choses sont Honteuses pour les Français dressés contre le parti en place!!! Telle une dictature, agrémenté d'une Gestapo politique, il est plus important de s'occuper des militants et s'empresser d'utiliser les grands moyens pour les faire taire que d'agir contre la vraie insécurité qui règne en France et qui tout en décimant les nôtres fait disparaitre notre pays tout entier dans le chaos car ingérable, avec l'aval d'une justice aux ordres de ce gouvernement Honteux !!!
Heureusement qu'il ne font pas partie des gens du voyage ou de la cité très sensible du coin !!! Ouf !!! Ils sont simplement Français !!! Aucun "DRAME" à prévoir pour l'état !!!
Comme quoi le pacifisme ne paye absolument pas !!!
Avant de sanctionner, faudrait peut être regarder si on leur a laissé le droit de s'exprimer! Si les manifs étaient autorisées, on en serait pas là.
Nos 2 militants, Antoine et Joffrey, sont sortis du bureau du juge. Ils ont été condamnés respectivement à 70h de travaux d'intérêt général et à 500€ d'amende pour avoir brandi une banderole réclamant L'EXPULSIONS DES ISLAMISTES, le 29 août 2015, sur le toit de la gare d'Arras. (7 de nos militants doivent encore passer en jugement pour cette affaire)
Calais : encore des affrontements entre migrants et policiers dans la nuit de lundi à mardi (VIDÉO)
De nouveaux affrontements ont opposé les forces de l’ordre à des
dizaines de migrants, dans la nuit de lundi à mardi, aux abords de la «
jungle », en contrebas de la rocade menant au port de Calais. Les gaz
lacrymogènes ont répondu aux jets de pierre et un important dispositif
policier a été mis en place. Vers 2 h 30, l’accès à la rocade a été
fermé. Des riverains de la route de Gravelines, entre peur et colère,
ont attendu toute la nuit le retour au calme. La circulation vers le
terminal ferry a pu reprendre en milieu de matinée.
Comme
dans la nuit de dimanche à lundi, lorsque des affrontements entre
forces de l’ordre et migrants ont fait vingt-six blessés légers (contusionnés à la suite de des jets de pierre), de nouveaux heurts ont eu lieu dans la nuit de lundi à mardi.Vers 0 h 30, les riverains de la route de Gravelines commencent à entendre les premiers signes de tension. L’un d’entre eux, réveillé en pleine nuit, témoigne : « Nous sommes pris à partie par les migrants, ça se bagarre. On est canardé à coup de cailloux et de projectiles, certains d’entre eux se sont réfugiés dans notre jardin. » Vers 1 h, les sapeurs-pompiers de Calais sont appelés au rond-point du commandant Cousteau, près du port. Un Syrien menace de se donner la mort. Quelques minutes plus tard, les pompiers sont encore appelés aux abords de la « jungle », où un feu de végétation a été allumé.
Des pierres fracassées, une chaise au milieu de la voie
Dans la zone industrielle des Dunes, proche de la route de Gravelines et de la « jungle » où s’entassent 4 500 migrants selon
le ministère de l’Intérieur (ils étaient encore 6 000 voilà deux
semaines avant les premiers départs volontaires pour des centres
d’accueil partout en France), plusieurs groupes de migrants à pied
marchent dans l’obscurité, de retour d’une tentative de passage ou à la
recherche d’un poids lourd accessible. Ils s’engouffrent dans la «
jungle » par la rue des Garennes, à peine troublés par les échanges de tirs, quelques centaines de mètres plus loin, entre certains migrants et des policiers.
L’accès au port fermé : trop dangereux
Au port, autour du terminal car-ferry et dans la zone des Dunes, les véhicules de police s’activent dans tous les sens.
Sortant d’un fourré, deux journalistes d’un quotidien national
cherchent le bon endroit pour obtenir des images. Refoulés par les
forces de l’ordre, ils tentent de nouveau leur chance sur la voie
rapide. Trop tard, elle vient d’être fermée.Sur l’A16, une voiture de police barre l’accès à l’échangeur menant au port. Trop dangereux. Vers 3 h 30, un pompiste à Calais, désabusé, rapporte : « Des camions déviés n’arrêtent pas de passer. Un chauffeur routier polonais affirme avoir mis cinq heures pour faire Douvres-Calais en raison du bazar ici. »
Depuis Calais, l’accès à la route de Gravelines est fermé. De l’autre côté, depuis le Fort-Vert (commune de Marck), l’accès en direction de la « jungle » est impossible également. Un véhicule de police barre la route. « Ils n’arrêtent pas de caillasser, c’est impossible d’avancer », clame un agent qui s’attend à une nuit pénible. Deux cents mètres plus loin, près du chemin des Dunes qui mène au centre Jules-Ferry où se trouve l’accueil de jour, plusieurs personnes dont on devine les silhouettes ont allumé un feu. Les flammes lèchent la route, une épaisse fumée enveloppe le quartier. Les sapeurs-pompiers de Marck, appelés pour éteindre ce feu, doivent rebrousser chemin car leur sécurité n’est pas assurée.
La situation était en voie d’apaisement ce mardi matin : l’accès à la rocade portuaire a de nouveau été rendu possible en milieu de matinée. Ces scènes d’émeutes se passent à Calais, plus grande ville du Pas-de-Calais, plus que jamais exposée à la pression migratoire.
Le contexte
Environ 6 000 migrants se trouvent actuellement dans la « jungle » de Calais, le camp toléré par l’État installé aux abords du centre d’accueil de jour Jules-Ferry. Des travaux pourl’installation du campement humanitaire de 1 500 places, annoncé par Manuel Valls le 31 août ont débuté début novembre, ainsi que l’augmentation de la capacité d’accueil des femmes et les enfants. Les départs de migrants à destination de centres dans d’autres régions de France ont également débuté, dans le cadre du dispositif annoncé par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Près de 1 000 migrants auraient déjà été éloignés de Calais. Début novembre, le tribunal administratif de Lille a contraint l’État à prendre des mesures d’urgence pour améliorer les conditions de vie des migrants dans la « jungle » de Calais.Il y a actuellement 1 125 membres des forces de l’ordre mobilisés à Calais pour gérer la pression migratoire et assurer la sécurité des installations du tunnel sous la Manche. la maire de Calais Natacha Bouchart avait manifesté son souhait de voir l’armée intervenir pour « surveiller » sa ville.
PAR OLIVIER PECQUEUX
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