Grand Ayatollah irakien: « le vrai islam autorise le viol des femmes et la destruction des églises »
« Le vrai islam autorise le viol des femmes et la destruction des églises »
Ce n’est pas une islamolucide qui l’affirme, mais le grand Ayatollah chiite irakien, que nos chers médias islamophiles n’oseront pas citer, ni accuser d’islamophobie …
Au
cours d’une récente interview télévisée, le grand ayatollah Ahmad al
Baghdadi, leader religieux chiite d’Irak, s’est exprimé sans aucune
hypocrisie. Il a clairement expliqué que l’islam et le reste du monde ne
pourront jamais coexister pacifiquement.
D’abord,
il discuta du jihad « défensif », déclarant que tous les musulmans ont
l’obligation de combattre pour la «libération » des «territoires
occupés» à commencer par la terre d’Israël. Mais, d’autres nations
figurent sur la carte des pays à reconquérir, car également « occupés »
par des infidèles aux yeux des musulmans, notamment certains pays
européens.
Ensuite,
il expliqua le jihad « offensif ». C’est ce jihad offensif, qui forgea,
au cours des siècles, ce que nous appelons aujourd’hui le «monde
musulman».
« Si
les circonstances le permettent et s’ils se sentent suffisamment forts,
les musulmans doivent mener le jihad offensif et conquérir les non
musulmans. »
(Une déclaration, à garder à l’esprit, vu les millions de « réfugiés » musulmans qui déferlent sur l’Occident.)
L’une
des premières raisons qui oppose le monde islamique aux nations
occidentales, c’est la façon dont les pays musulmans appréhendent le
monde, à des années lumières de la nôtre. Tandis que les musulmans
voient le monde dans une perspective historique, l’Occident a abandonné
ou réécrit son histoire pour se conformer à ses dangereuses idéologies
fantaisistes du jour.
Cette dichotomie de la pensée musulmane et occidentale est partout évidente.
Quand
l’Etat Islamique déclara qu’il allait conquérir Rome et briser les
croix, rares furent les observateurs occidentaux qui prirent conscience
du fait qu’il s’agissait – mot pour mot – des objectifs du fondateur de
l’islam et de ses compagnons, consignés dans les sources musulmanes,
mots et objectifs à l’origine des jihad sanglants qui endeuillèrent
l’Europe pendant plus de mille ans.
Plus récemment, l’État Islamique a dévoilé une carte des zones où il projette de s’étendre dans les cinq années à venir.
Y
figurent non seulement des régions moyen-orientales et asiatiques, mais
aussi des terres chrétiennes : le Portugal, l’Espagne, la Hongrie, la
République Tchèque, la Slovaquie, la Grèce, une partie de la Russie,
l’Ukraine, la Roumanie, l’Arménie, la Géorgie, la Crête et Chypre.
Les
pays d’Europe de l’Est et d’Europe Centrale, qui firent l’amère et
douloureuse expérience d’être dominés par les Ottomans, sont conscients
des aspirations suprématistes musulmanes.
Le
Premier Ministre hongrois, se référant au passé tragique de son pays
martyrisé sous le joug des Ottomans et de la loi islamique, a ainsi
justifié son refus d’accueillir des « refugiés » musulmans. Mais pour
les nations « éclairées » occidentales, qui rejettent ou réécrivent leur
histoire en fonction de leurs fantasmes, le raisonnement hongrois est
injuste, raciste et contraire aux valeurs humanistes européennes.
Selon
la loi islamique, une fois qu’un pays a été conquis (ou « ouvert » si
l’on traduit l’euphémisme arabe), ce pays devient musulman pour
l’éternité.
C’est d’ailleurs, pour cela que les musulmans maudissent et haïssent Israël.
Ce
n’est pas en raison d’une sympathie quelconque vis à vis des «
Palestiniens » – si c’était le cas, les nations arabes voisines les
auraient absorbés depuis longtemps.
De
même, s’ils étaient honnêtes et généreux comme ils le prétendent, ils
auraient pris en charge tous les réfugiés musulmans actuels. Non, ils
maudissent Israël parce que les descendants « des porcs et des singes » –
c’est ainsi que le coran appelle les Juifs – ont osé reprendre une
terre qui fut un jour « ouverte » par le jihad et cette terre doit
redevenir musulmane.
Pour
les musulmans, les pays européens mentionnés ci-dessus sont
actuellement « occupés » par des « infidèles » chrétiens et ont « besoin
d’être libérés ».
C’est
pour cette raison que les organisations jihadistes définissent les
attaques terroristes dans ces pays comme des opérations de « djihad
défensif ». On entend rarement parler des ambitions musulmanes en
Europe, parce que ces pays sont relativement grands et collés les uns
aux autres.
Le
petit Israël, en revanche, est situé au cœur du monde islamique. Cela
explique l’attention que les jihadistes lui portaient jusqu’à présent :
sa conquête leur paraissait plus réaliste. Mais maintenant, que le
« califat » renaît et se propage sous les yeux d’un Occident paralysé,
leur rêve de reconquérir des pans entiers de l’Europe – via
l’immigration – leur semble plus réalisable, peut-être même plus
plausible que de conquérir Israël.
Le religieux musulman s’énerva contre l’animateur laïque, car selon ce dernier l’islam ne peut enseigner une telle intolérance
Au
cours de l’entretien, le religieux musulman s’énerva plus d’une fois
contre l’animateur laïque, qui ne cessait de l’interrompre et de
protester, car selon lui, l’islam ne peut enseigner une telle
intolérance.
A un moment donné, l’ayatollah, en colère, s’écria :
« Je suis l’érudit de l’islam (al-faqih). Vous n’êtes qu’un journaliste ! Alors, écoutez-moi.
Al-Baghdadi expliqua ensuite:
“Aux gens du Livre (juifs et chrétiens), nous demandons de payer la “jizya”, et s’ils refusent, alors nous les combattons.
S’il
s’agit de chrétiens, ils ont trois choix : soit ils se convertissent à
l’islam, soit ils refusent et souhaitent rester chrétiens, il payent
alors la jizya et doivent accepter de vivre selon les règles de la
‘dhimmitude’ stipulées par le Pacte d’Omar. »
(Le
Pacte d’Omar, ainsi nommé d’après le deuxième calife Omar bin
al-Khattab (r. 634-644), stipule les « conditions » de soumission des
non musulmans à l’autorité islamique. Il s’agit d’une législation très
dure, qui concerne en premier lieu les juifs et les chrétiens, et qui
fixe, à l’instar des organisations mafieuses, les conditions de «
soumission » ou de « protection » des non musulmans en terre d’islam ou
en terre conquise par l’islam)
« Soit ils maintiennent leur refus, alors nous les combattons, violons leurs femmes et détruisons leurs églises : c’est cela l’ islam… »
« Soit
ils maintiennent leur refus, alors nous les combattons, violons leurs
femmes et détruisons leurs églises : c’est cela l’ islam
…
…
Apprenez ce qu’est l’islam, d’ailleurs êtes-vous un musulman ? demanda-t-il au journaliste.
Quant
aux polythéistes (Hindous, Bouddhistes, etc.), nous leur permettons de
choisir entre l’islam et la guerre. Ce n’est pas l’opinion d’Ahmad
al-Husseini al-Baghdadi, mais celle des cinq écoles de jurisprudence (4
pour les Sunnites, une pour les Chiites) »
Vers
la fin de l’interview, alors que le journaliste, rasé de près, en
costume cravate, continuait à protester, affirmant que cela ne pouvait
être l’islam, l’ayatollah s’adressa à lui avec mépris :
« Qui êtes-vous ? Allez- vous me dire en quoi je dois croire ? Ceci est la parole d’Allah!”
En effet !
Non
seulement, c’est la parole de la divinité islamique, mais également
l’obstacle fondamental et insurmontable pour la paix entre les Musulmans
et les non Musulmans.
Al-Baghdadi
et le nombre incalculable de religieux musulmans, sunnites et chiites,
qui partagent ces points de vue ne sont pas des « radicaux », mais de
bons musulmans. Car le jihad offensif n’est pas moins codifié, que les
cinq piliers de l’islam, ce qu’aucun musulman ne rejette.
L’Encyclopédie
du jihad islamique stipule que la propagation de l’islam par les armes
est un devoir religieux pour chaque musulman. Le jihad doit continuer
jusqu’à ce que le monde entier soit sous la loi de l’islam…
L’islam doit être imposé avant que la doctrine du jihad ne puisse être éliminée.
Le jihad offensif est altruiste
L’historien et philosophe musulman Ibn Khaldun bien connu (mort en 1406) expliqua le jihad comme suit :
«
Dans la communauté musulmane, le jihad est un devoir religieux, à cause
de l’universalisme de la mission musulmane et l’obligation de convertir
chaque individu à l’islam, soit par la persuasion, soit par la force.
Les autres groupes religieux n’avaient pas reçu cette mission
universelle et le jihad n’était pas un devoir religieux pour eux, sauf
dans un but défensif. Mais l’islam a l’obligation de prendre le pouvoir
sur les autres nations…
Ici,
il serait bon de noter que même le jihad le plus offensif est considéré
comme une effort altruiste, contrairement au fardeau de l’homme blanc
du 19e siècle. Après tout, l’ancien argument : « nous devons vous réformer, de notre manière, pour votre bien» a été l’une des justifications les plus citées pour le jihad offensif depuis le 7e siècle.
En
effet, peu après la mort du prophète du l’islam (en 634), quand ses
jihadistes quittèrent la péninsule arabique, un commandant perse, qui
allait bientôt être soumis, demanda aux envahisseurs musulmans ce qu’ils
voulaient, ils répondirent :
“Allah
nous a envoyé et conduit ici pour que nous puissions libérer ceux qui
le souhaitent, de la servitude des lois humaines, et en faire des
serviteurs d’Allah, pour que nous changions leur pauvreté en richesse,
que nous les délivrions de la tyrannie et du chaos des fausses religions
et leur apportions la justice de l’islam.
Il nous a envoyé pour apporter sa religion à toutes ses créatures et les appeler à l’islam.
Quiconque
l’accepte, sera en sécurité et nous le laisserons tranquille, mais
celui qui refuse, nous le combattrons, jusqu’à ce que nous
accomplissions la promesse d’Allah. »
14 siècles plus tard, en mars 2009, l’expert juridique saoudien, Basem Alem, reprit publiquement ce point de vue :
« En tant que membre de la vraie religion (l’islam) j’ai davantage le droit d’envahir les autres nations »
«
En tant que membre de la vraie religion (l’islam) j’ai davantage le
droit d’envahir les autres nations, afin de leur imposer une certaine
façon de vivre (selon la charia), que l’histoire a prouvé être la
meilleure et la plus juste des civilisations. C’est la véritable
signification du jihad offensif. Quand nous menons le jihad, ce n’est
pas pour convertir les gens à l’islam, mais pour les libérer du sombre
esclavage dans lequel ils vivent. »
SOYONS HEUREUX ET RECONNAISSANTS ! C’EST POUR NOTRE BIEN QUE LES MUSULMANS NOUS ENVAHISSENT !
Merkel,
Obama, Cameron, Hollande, Juncker, Schulz, Tusk, Mogherini et toute la
mafia de l’UE l’ont bien compris eux, contrairement à nous, pauvres
islamophobes, incapables de saisir toute la « beauté et la bonté » de
l’islam.
D’ailleurs,
ne suffit-il pas d’observer les pays musulmans pour être ébloui par ces
véritables jardins enchantés, illuminés par la félicité, la joie, le
bonheur, la liberté, la justice, qu’apporte à ses habitants la
«meilleure et la plus juste des civilisations» ?
Même
al-Qaïda justifia en partie son jihad contre l’Amérique : une nation
qui exploite les femmes comme des objets de consommation, une nation qui
ne rejette pas les actes immoraux comme la fornication,
l’homosexualité, les drogues, les jeux de hasard et l’usure.
Bref,
les musulmans sont des parangons de vertu et nous de misérables
débauchés. Ils nous soumettent pour nous apporter le salut !
Du
moins, c’est ce à quoi ils sont endoctrinés dès leur plus tendre
enfance, car dans la réalité, ce qu’ils nous reprochent, c’est le
transfert psychologique sur nous, les infidèles, de leurs propres
turpitudes, autorisées par leur livre sacré.
Redoutable de perversité, la religion musulmane donne à ses croyants comme image de l’absolu céleste ce qu’elle leur refuse dans leur vie terrestre.
Elle
condamne les hommes à voiler leurs femmes, à les faire se vêtir de la
façon la plus informe possible, en un mot à les enlaidir, tout en les
invitant à rêver de splendides vierges lascives qui dans l’au-delà
seront disponibles à toute heure pour satisfaire leurs appétits sexuels.
Elle
leur interdit le vin, tout en leur faisant miroiter des rivières de ce
précieux breuvage coulant à flots au paradis d’Allah. C’est une
formidable machine à créer de la frustration.
Le Paradis d’Allah est un lupanar pour misogynes lubriques.
Lieu
de jouissances corporelles dans lequel le vin coule à flots, il est
peuplé de créatures destinées à satisfaire les désirs sexuels des mâles
croyants : vierges à la peau d’albâtre, aux yeux noirs et aux cheveux de
jais, appelées houris, et jeunes éphèbes semblables à des «perles cachées».
Foin de spiritualité, tout n’est ici que volupté et sexualité
débridées. (Saudi Sheikh Yahya Al-Jana’ Waxes Lyrical about the Joys of
the Virgins of Paradise –Video Memri TV)
A
Kish, petit paradis dans l’enfer de la République islamique d’Iran,
cernée par les eaux azur du golfe Persique, tout est réuni pour la
saoûlerie et la débauche : de l’alcool qui se vend discrètement dans les
hôtels, de la drogue et même des jeunes femmes que la situation
économique du pays a conduites à la prostitution…
C’est un lieu de libre-échange, de tourisme et de liberté. Les vieux
mollahs oublient les préceptes religieux qu’ils imposent au peuple pour
s’adonner aux plaisirs interdits par le coran sur l’île de Kish. Comme
quoi, les plus grands religieux, pieux en apparence, sont souvent les
plus vicieux dans leur vie privée et les premiers à ne pas suivre les
règles qu’ils édictent et imposent au peuple, par la force et la peur.
Mais, les musulmans sont si vertueux …
«
Si le fardeau de l’homme blanc était ou est de civiliser les musulmans
en leur apportant la démocratie, les droits de l’homme, la laïcité, le
fardeau du musulman est de civiliser les occidentaux en les abritant
sous le parapluie de la charia.»
L’interprétation
positive du jihad assure que peu importe la violence et l’injustice
ostensibles du jihad, il sera toujours justifié aux yeux des musulmans
par des fins altruistes.
Enfin,
comme Ahmad al Baghdadi le fit remarquer, la nécessité pour les
musulmans de mener le jihad offensif n’est pas son opinion, mais « C’est la parole d’Allah ».
Ben
voyons, quoi de plus facile que de justifier les atrocités commises par
les troupes d’égorgeurs, en se référant à la parole d’Allah !
De
même pour Ayman Zawahiri, leader d’al Qaïda, ou pour Abubakar Shekau,
chef de Boko Haram ou n’importe quel autre jihadiste du passé ou actuel :
« le jihad de conquête pour apporter la charia aux âmes perdues, c’est le commandement d’Allah » !!!
Une
partie des musulmans, qui migrent actuellement en Italie, expriment ce
même vœu : le pape François en a pris connaissance, même s’il continue
de suggérer qu’on prenne simplement « des précautions » et « qu’on mette
ces gens au travail ».
L’ «histoire
nouvelle», qui prétend que les musulmans sont les victimes historiques
d’un Occident chrétien intolérant, se répand partout dans les écoles,
dans les universités, dans les récits d’Hollywood ou dans les médias,
institutions qui se confondent de plus en plus.
Quand
Barack Hussein Obama, pour légitimer les atrocités de l’État Islamique,
s’en est pris aux Chrétiens du Moyen Âge, ou quand il déclare que « la
religion » n’est « jamais le moteur de la violence », il est en parfaite
adéquation avec la façon actuelle d’enseigner l’histoire aux jeunes
occidentaux, à savoir, par la réécriture de notre histoire à la «
lumière » d’un islam pacifique, en occultant toute l’horreur de la
conquête islamique.
Il existe même des ouvrages d’historiens réputés qui contribuent à cette pensée tordue.
Quand
ils analysent « l’expansion ottomane » en Europe, l’élément islamique
est toujours omis. Les Turcs sont représentés comme n’importe quelle
autre nation à l’affût d’une place de choix dans l’Europe, avec des
motivations en tout point semblables à celles, disons, des Autrichiens,
leur rivaux.
Le
fait que les « Ottomans » opéraient sous la bannière distincte du
jihad, comme l’Etat islamique aujourd’hui, n’est jamais clairement
mentionné.
Les
générations, qui ont successivement avalé cette fausse histoire, ont
mené l’Occident à penser qu’être méfiant ou porter un jugement nuancé ou
négatif sur les musulmans est inacceptable, et que toutes les exigences
des musulmans doivent être satisfaites. Alors, peut-être, ces derniers
pourraient enfin aimer l’Occident. Pauvres naïfs !
Telle est la sagesse progressiste.
À
travers le monde musulman, les petits écoliers subissent un
endoctrinement qui leur fait glorifier les conquêtes anciennes du djhad,
des conquêtes par l’épée au nom d’Allah.
Pendant
que l’Occident progressiste vitupère contre l’histoire européenne et
chrétienne, la Turquie « laïque » honore chaque année Mehmet II – dont
les atrocités, commises à l’encontre de l’Europe chrétienne, feraient
passer l’État Islamique pour un camp de boy-scouts – à l’occasion de
l’anniversaire du siège barbare et sanglant de Constantinople par ses
troupes.
Le
résultat de ces « fantaisies » occidentales, c’est qu’aujourd’hui, des
musulmans peuvent entrer librement dans nos pays, s’ils se déclarent «
réfugiés ».
Ils
refusent de s’intégrer dans une société d’ « infidèles » et se
regroupent dans des ghettos qui deviennent des enclaves – des « ribats » pour
reprendre la terminologie islamique – qui serviront de postes-frontière
à partir desquels ils lanceront leur jihad « altruiste » sur les
plaines des infidèles…
Ce n’est pas une conjecture fantaisiste.
L’État
Islamique encourage intensément le phénomène migratoire des « réfugiés
», et a promis d’envoyer un demi-million de personnes, majoritairement
mahométanes, vers l’Europe.
Selon l’EI, 4.000 de ces « réfugiés » dévoués à sa cause, sont déjà sur place :
« Attendez seulement… Notre rêve est de voir un califat non pas uniquement sur la Syrie, mais sur toute la planète, et nous le réaliserons bientôt. Inch’allah ! »
On
dit souvent que ceux qui ignorent l’histoire sont condamnés à la
répéter. Mais qu’arrive-t-il à ceux qui réécrivent leur histoire de
manière à diaboliser leurs ancêtres, tout en dédouanant les crimes de
leurs anciens ennemis ?
Le résultat est devant nous.
De nos jours, l’histoire ne se répète pas.
Les
musulmans ne partent plus à la conquête militaire de nos pays, le sabre
à la main, non, ils sont gracieusement invités à les envahir par nos
irresponsables au pouvoir, avec courtoisie, bienveillance et affection,
dans le respect des valeurs humaines européennes. Peu importe, si les «
invités » se moquent de ces valeurs et si au nom de ces valeurs, les
pays européens s’acheminent docilement sur la voie de leur suicide
programmé, tels des troupeaux de moutons menés à l’abattoir.
Peut-être qu’un
nouvel aphorisme devrait être inventé pour notre époque : ceux qui
oublient ou ignorent l’Histoire sont destinés à être conquis, par ceux
qui s’en souviennent et la glorifient.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire