myofasciite à macrophages
![]() |
![]()
Comme moi, vous avez erré de médecins en spécialistes,
d'hôpital en hôpital ! C'est une des raisons de la création de ce site.
|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Des arthralgies, permanentes et
fluctuantes en intensité et en
localisation, sur toutes les articulations périphériques et
axiales avec des poussées congestives et inflammatoires pluriquotidiennes.
Des myalgies, des courbatures et
contractures sévères, permanentes et fluctuantes en localisation, sur tous
les muscles périphériques et les muscles dorsaux et cervicaux,
s’aggravant en intensité au moindre effort et persistant plusieurs jours
après. Le plus souvent de type inflammatoire. Des douleurs à
la contraction musculaire tenue (tenir un
livre, un téléphone, etc.). Des douleurs à la pression du corps musculaire
et des tendons des muscles squelettiques. Des crampes paroxystiques très
invalidantes.
Des douleurs osseuses caractérisées
par des douleurs diffuses fluctuantes et
non-systématisables (mains, cou, etc.). Des céphalées chroniques, parfois migraines
oculaires. Des douleurs abdominales, à type de contractures et de brûlures.
Exceptionnellement (forme atypique
de la maladie), les
symptômes pourraient se
développer tardivement, jusqu'à 10 ans
après la vaccination.
|
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() |
![]()
Certains d'entre eux, se modifient en permanence, pour
ne pas être reconnus. D’autres restent visibles, mais incitent l'organisme, à
choisir un type de réponse immunitaire, inefficace.
![]() |
![]() |
![]()
" La maladie touche le plus
souvent l'adulte, sans prédominance de sexe. La myofasciite à
macrophages se révèle généralement par des douleurs musculaires ( Myalgies ),
d'intensité variable, notées dans 90% des cas, le plus souvent associées à
une fatigue chronique ( 70% des cas ). Les myalgies prédominent aux membres
inférieurs, et sont souvent aggravées par l'effort.
![]()
Une augmentation des enzymes musculaires avec élévation
de la Créatine KiNase ( CK ) est observée dans 40% des cas.
L'électromyogramme montre un aspect myopathique chez moins de 30% des
patients. La scintigraphie au Gallium montre des anomalies évocatrices mais
non spécifiques. Les deux hypothèses étio pathogéniques actuellement
privilégiées pour expliquer cette nouvelle maladie sont : L'hypothèse toxique
et l'hypothèse infectieuse. De nombreux protocoles d'études épidémiologiques,
cliniques, fondamentaux et thérapeutiques sont en cours, sous l'égide du
GERMAD, en collaboration avec l'Institut de Veille Sanitaire.
|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Histoire
Mai 1993 : Docteur Michelle COQUET Neuropathologiste à
Bordeaux (33), effectue une biopsie musculaire sur une femme souffrant de
douleurs rebelles inexpliquées suspectée de polymyosite. «En vingt ans,
se souvient-elle, je n'avais jamais vu une telle lésion musculaire. Elle
était constituée par des amas de macrophages, observe le premier
cas Français qui montre des lésions jamais publiées en pathologie
musculaire. Une première publication américaine antérieure avait déjà
observé cet aspect histologique particulier (1982. MRACK).
Décembre 93 : Ce cas est présenté à la
Société scientifique Française de Neuropathologie à Paris. Personne n’avait
vu de telles lésions.
Ces derniers sont, en quelque sorte, les éboueurs
chargés de faire disparaître les intrus (microbes, virus) au sein des
cellules. Les macrophages renfermaient une substance inconnue, bien visible
au microscope électronique sous forme de cristaux très noirs.» À la fin de
l'année, Michelle Coquet présente le cas à ses confrères qui, comme elle,
ignorent la nature de ces lésions. C'est ainsi que commence un véritable
polar scientifique avec son lot de découvertes et d'énigmes non résolues
La découverte de la myofasciite à macrophages (MFM)
s’est faite en plusieurs étapes à partir de 1993, autour en France du travail
du Groupe Nerf-Muscle du Département de Pathologie de
Hôpital Henri Mondor de Créteil, et le Groupe d’études et de
recherche sur les maladies musculaires acquises et dysimmunitaires (GERMMAD)
de l’Association
française contre les myopathies.
1994 : Professeur Romain GHERARDI, chef
du service d'histologie de l'hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne).
Groupe d'Etude et de Recherche sur le Muscle et le Nerf (GERMEN) observe un
deuxième cas.
1995 : 2 nouveaux cas (Bordeaux et
Créteil).
1996 : Réunion sous l’égide
de l’Association
Française des Myopathies
des médecins ayant observés des cas
identiques: Fardeau (Institut de Myologie), Coquet (CHU
Bordeaux) Ghérardi (CHU Créteil), Pellissier (CHU
Marseille), Mussini CHU Nantes) : tous les cas montrent les
mêmes lésions histologiques (amas de macrophages dans fascia et muscle
contigu) et ultrastructurales (inclusions en aiguilles dans les macrophages).
C’est en 1996, que les spécialistes lui donnent le nom
de «myofasciite à macrophages» (myo : muscle ; fasciite: fascias,
c'est-à-dire l'enveloppe des muscles).
Un tableau clinique commun se dégage des observations :
douleurs musculaires et articulaires, fatigue intense.
On ne connaît pas la nature des inclusions observées en
microscopie électronique. A la demande de l’Association Française des
Myopathies, un groupe de travail est créé par le Pr Patrick
Chérin, clinicien en médecine interne à la Pitié-Salpétrière, dénommé
GERMMAD (Groupe de Recherche sur les Maladies Musculaires Acquises et
Dysimmunitaires), qui en assure la présidence.
Ce groupe de recherche associe des cliniciens, des
histologistes et des immunologistes. Compte tenu de l’apparition de nouveaux
cas, une réunion du GERMMAD se tient à Paris, spécifiquement dédiée à cette
nouvelle myopathie. Le nom descriptif de "myofasciite à
macrophages" est proposé et accepté par le groupe.
1. la MMF est-elle uniquement
attribuable à des vaccins contenant de l’hydroxyde d’aluminium (ou d'ailleurs
à ceux contenant du phosphate d’aluminium)6?
2. un antigène vaccinal existe-t-il
dans le muscle lésé N6;
3. les biopsies du deltoïde ont-elles
été pratiquées au point d’injection ? (« encore qu’il soit
probable que tel ait été le cas la plupart du temps étant donné que la
pratique recommandée consiste à vacciner et à effectuer les biopsies sur le
bras non dominant »)6.
Remarque : les biopsies musculaires étant rarement pratiquées, hormis
chez les malades présentant des symptômes de myopathie, la comparaison avec
la population en bonne santé était dans les années 1990 impossible6.
« Il existe de nombreux mécanismes immunitaires qui pourraient être à l’origine du passage d’une immunoréaction locale à une affection généralisée et la question doit être étudiée plus à fond »6. Le Comité estimait en 1999 ne pas disposer de données suffisantes pour remettre en cause l'aluminium dans les vaccins, tout en recommandant « vivement d’entreprendre des recherches afin d’évaluer les aspects cliniques, épidémiologiques, immunologiques et biologiques de cette pathologie »6.
Notes et références
2-Denis Sergent, article intitulé « L’ajout d’aluminium dans les vaccins suscite le débat [archive] » dans le journal La Croix du 2012-11-11
(consulté 2012-11-11)
6- Comité consultatif mondial sur la sécurité des
vaccins de l'OMS, Myofasciite à macrophages et vaccins contenant de
l’aluminium [archive],
OMS, Oct 2009, consulté 2012-11-11. Voir aussi : WHO Vaccine Safety Advisory
Committee. Macrophagic myofasciitis and aluminum-containing vaccines. Wkly
Epidemiol Rec 1999;74:338–40.
7-GACVS/OMS, Questions/réponses : les MFM et les résultats d’une
nouvelle étude (mai/04) [archive],
mai 2004
13- Gherardi R. K, Myofasciite à macrophages et
hydroxyde d'aluminium : vers la définition d'un syndrome des adjuvants =
Lessons from macrophagic myofascitiis: towards definition of a vaccine
adjuvant-related syndrome ; Revue neurologique ; ISSN:0035-3787
; 2003, vol. 159, no2, p. 162-164 ; 3pp ; (résumé Inist-CNRS [archive])
14- Myofasciite à macrophages et vaccins contenant de
l’aluminium [archive]
Rapport du Comité consultatif mondial sur la sécurité des vaccins mis en
place par l'OMS
16- GACVS/OMS, Comité consultatif mondial sur la Sécurité des Vaccins,
20-21 juin 2002 [archive],
communiqué 2002
17- Évaluation du risque lié à l’utilisation de l’aluminium
dans les produits cosmétiques [archive],
rapport d'expertise d'octobre 2012, 44 pages, PDF
18-
Flarend R et al; A preliminary study of the dermal absorption of
aluminium from antiperspirants using Al26, Food. Chem. Toxicol,
février 2001
19- Courrier à Madame M. Madonna du 23 février 2012, cité par [archive] le Réseau Santé
Environnement en novembre 2011 (voir page 10)
20- ASEF (Association Santé Environnement
France [archive], Synthèse sur l'aluminium (2012) en version
HTML [archive]
ou en version PDF [archive], consulté 2012-11-13
21- AFP, Communiqué intitulé L'ajout
d'aluminium dans les vaccins continue d'inquiéter, par Elizabeth Zingg
(AFP), 2012-11-12
22- France info, communiqué intitulé Faut-il avoir peur de l'aluminium contenu dans les
vaccins ? [archive],
daté 2012-11-12, 11:50
![]() ![]() ![]() ![]()
Le Comité Consultatif
pour la Sécurité des
vaccins de l’OMS « a
conclu un lien de causalité très
probable entre l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde
d’aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la
MFM »
![]()
Il y a près de 20 ans, alors que l’on connaissait déjà
la toxicité de l’aluminium, les chercheurs de Pasteur-Vaccins avaient mis au
point un adjuvant au point à base de phosphate de calcium. Mais, lorsque
Mérieux racheta Pasteur-Vaccins, les vaccins à base de phosphate de calcium
furent mis aux oubliettes.
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
L’Express du 11 juin 1998.
![]() ![]()
Etudes épidémiologiques et enquêtes de
pharmacovigilance à l’appui, il affirme qu’il n’y a pas de lien entre la
vaccination et les maladies démyélinisantes mais que l’ « on ne
peut pas exclure que la vaccination puisse révéler ou faciliter le développement
de ces affections chez certains vaccinés ». Pour ajouter à la confusion,
il annonce que la vaccination des préadolescents est suspendue, tout en
recommandant de vacciner les nourrissons.
|
![]() |
![]() ![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() |
![]() ![]() |
![]() |
![]() ![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]()
l’hépatite B aux Etats-Unis, 2°) la question de la dose
cumulée de mercure contenu dans les vaccins ne concernait que très peu la
France : tous les vaccins indiqués chez les nourrissons, à l’exception de
deux vaccins hépatite B, ne contenaient pas de mercurothiolate ; 3°)
pour les pays en voie de développement, utilisateurs de vaccins en
présentation multidoses et donc contenant du merthiolate, le passage à des
vaccins dépourvus de merthiolate, et donc en présentation unidose, représenterait
un tel surcoût que, sur la base des budgets actuels, des millions d’enfants
ne pourraient plus être vaccinés.
![]() |
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
Les études scientifiques effectuées pour éprouver cette hypothèse n’ont pas confirmé l’existence d’une association
causale entre l’exposition précoce à cette substance et des problèmes neuropsychologiques ultérieurs en phase
de pré-adolescence, notamment l’autisme (cf en particulier New EnglandJournal of
Medicines 27-09-2007).
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
Certains auteurs utilisent des IDR en injectant
0,1 ml d'une solution de thiomersal dilué au 1/10 000ème. Mizutani considère
que ces tests par IDR donnent trop souvent des réactions positives et pense
que ce type de test n'est pas spécifique d'une allergie au thiomersal. Compte
tenu du nombre de tests positifs après vaccination avec des solutions
contenant du thiomersal, la pratique de telles IDR paraît dangereuse pouvant
induire une sensibilisation active à ce conservateur. (consulter la page
Doumentation 6).
![]() ![]() ![]() |
LES TROUBLES DE LA MYOFASCIITE A MACROPHAGES.
|
Histologie
Les lésions histologiques sont spécifiques.
La biopsie musculaire
pratiquée sur le site de la vaccination,
le plus souvent le deltoïde gauche, montre une infiltration du fascia et du
tissu conjonctif péri et endomysial par des macrophages PAS+
contenant des cristaux d’hydroxyde d’aluminium.
Tableau clinique
Le tableau clinique est invalidant et comporte
schématiquement 3 états :
· un état « de précarité »
(prédominant) : associant des troubles physiques et neurocognitifs
invalidants ;
· un état « de
décharge » : incapacité fonctionnelle totale par perte de
l’éveil ;
· un état « de
grâce » : bouffée de rémission proche de l’état sain.
L’état « de précarité » est caractérisé
principalement par des douleurs permanentes, une fatigue chronique générale,
menant à l’épuisement, associée à une asthénie musculaire et des troubles
cognitifs.
L’état général est marqué par une faiblesse et une fatigue
chroniques, intenses et invalidantes pour les activités les plus
élémentaires, telles que l’équilibre ou la marche, parfois même l’expression
verbale, auxquelles s’ajoute un syndrome pseudo grippal quasi-permanent,
régulièrement ponctué de malaises.
Des arthralgies, permanentes et fluctuantes en
intensité et en localisation, sur toutes les articulations périphériques et
axiales avec des poussées congestives et inflammatoires pluriquotidiennes.
Des myalgies, des courbatures
et contractures sévères, permanentes et fluctuantes en localisation, sur tous
les muscles périphériques et les muscles dorsaux et cervicaux, s’aggravant en
intensité au moindre effort et persistant plusieurs jours après. Le plus
souvent de type inflammatoire. Des douleurs à la contraction musculaire tenue
(tenir un livre, un téléphone, etc.). Des douleurs à la pression du corps
musculaire et des tendons des muscles squelettiques. Des crampes
paroxystiques très invalidantes.
Des douleurs osseuses caractérisées par des douleurs
diffuses fluctuantes et non-systématisables (mains, cou, etc.). Des céphalées
chroniques, parfois migraines oculaires. Des douleurs abdominales, à type de
contractures et de brûlures.
Exceptionnellement (forme atypique de la maladie), les
symptômes pourraient se développer tardivement, jusqu'à 10 ans après la
vaccination.
Troubles de la fonction motrice
Diminution globale et invalidante de la force
musculaire, affectant le moindre geste du quotidien (écrire, tourner une clé,
couper la viande, mâcher, port de charges même légères, se raser, etc.).
· Diminution de l’endurance et
de la résistance musculaires.
· Ataxie rendant
la marche difficile, lente et instable, ou obligeant un rythme rapide.
· Troubles posturaux statiques (assis,
debout) et dynamiques.
· Troubles de l’équilibre lors des
transferts, en position debout et lors de la marche.
· Incoordinations cinétiques,
maladresse gestuelle (perte de la précision et du contrôle de la force des
préhensions, marches d’escaliers loupées, objets qui échappent, etc.) des
deux côtés.
· Troubles d’élocution :
dysphonies, réduction du flux, blocages phonatoires, dysarthrie.
· Fausses-routes.
· Contractions fugaces, diurnes et
nocturnes, des muscles des quatre membres et des spinaux.
· Contractions nocturnes involontaires et
violentes des masséters.
· Dyskinésies discrètes
des mains perturbant certains gestes fins (saisie clavier par ex.)
· Myoclonies nocturnes
des membres inférieurs et épisodiques de la main gauche.
Troubles sensitifs et sensoriels
· Cénestopathie générale.
· Hypoesthésie pulpaire
des mains.
· Paresthésies d’intensité
variable des deux mains. Parfois au niveau des pieds.
· Dysesthésies douloureuses, à type
d’aiguilles, des appuis plantaires au lever.
· Acouphènes.
· Hyperacousie.
· Sensibilité à la lumière intense (néon,
halogène, parfois lumière naturelle).
· Fatigue oculaire nécessitant de gros
efforts pour lire.
Troubles neurovégétatifs
Troubles thermiques (frilosité, bouffées de chaleur) et
invalidants.
· Hypotension.
· Sensations vertigineuses.
· Hypersudations générales, nocturnes et
parfois diurnes.
· Rougeur spontanée régulière des paumes des
mains.
Troubles du sommeil
Endormissement difficile.
· Sommeil perturbé par les troubles
thermiques et des réveils réguliers.
· Syndrome des jambes sans repos.
· Fatigue importante au lever.
Il existe aussi des troubles du transit, alternant
diarrhées et constipations avec météorisme, nausées épisodiques ou des
troubles sphinctériens à type d'impériosités voire de fuites urinaires.
Sur le plan cognitif et comportemental
Troubles de la vigilance nécessitant une stimulation
intellectuelle permanente
o somnolence diurne
o état d’éveil imposant régulièrement
des efforts épuisants
· Troubles de l’attention, de la
concentration intellectuelle et de l’association des idées
o interruption coûteuse des tâches les
plus élémentaires, refaire/revenir en arrière pour reprendre
o fatigabilité intellectuelle à la
lecture, l’écriture, la tenue d’une conversation
· Troubles de la mémoire à court
terme, parfois lors d’une même action
· Altération de la mémoire procédurale
· Ralentissement mental
· Perte des chiffres, dyscalculie, gestion
financière
· Troubles phasiques
o perte du mot, confusions
épisodiques, difficulté à exprimer les idées de façon univoque
o troubles de la syntaxe, de la
grammaire, dysorthographie
o substitutions, inversions orales et
écrites de syllabes et mots, omission de lettres à l’écrit
· Altération de la prise
d’initiative
· Troubles du comportement
o modifications de l’humeur et du
caractère, sensation d’instabilité, irritabilité, voire irascibilité
o anxiété de l’inconnu, de l’imprévu,
du dehors, de l’empressement, des bousculades
o apathie épisodique, perte de
l’estime de soi, aboulie récurrente (jouer, etc.)
o idées persistantes, blocages devant
des situations pourtant simples
L’état « de décharge » est marqué par une
incapacité mentale et fonctionnelle totale, liée à un effondrement massif
général, pseudo-comateux. La conscience d’abord présente, ne supporte aucune
communication avec l’entourage, puis cède rapidement dans un sommeil profond.
L’image la plus parlante semble être celle de la batterie vide qu’il faut
recharger par le sommeil. La survenue des crises est imprévisible. Quelques
signes annonciateurs (bâillements impérieux, épuisement soudain, asthénie
mentale plus intense) apparaissent un peu avant l’effondrement et permettent
de s’isoler.
L’état « de grâce » est marqué par une sorte
de rémission avec presque plus de douleur ni de troubles moteurs et un retour
de la fluidité cognitive et gestuelle.
Biologie
Les rares signes retrouvés au bilan sanguin sont
parfois :
· augmentation
modérée de la vitesse
de sédimentation ;
augmentation modérée des transaminases GPT
(CPK).
|
![]() ![]() ![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
L'hépatite D, provoquée par le virus delta, n'apparaît
pas en l'absence d'infection par le virus de l'hépatite B. En conséquence, la
vaccination avec ce vaccin protège indirectement contre l'infection par le
virus delta.
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
par exemple pour un voyageur se rendant dans des zones
de haute endémicité et qui commence un schéma de vaccination contre
l'hépatite B dans le mois précédant ie départ, un schéma de 3 injections
intramusculaires à 0.7-21 jours peut être proposé. Lorsque ce schéma est
appliqué, une dose de rappel est recommandée 12 mois après la première
injection (cf Pharmacodynamie, pour les taux de séroconversion).
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire