mes trois pensée de ce jour.

mes trois pensée de ce jour.

 



Un mot prononcé avec bienveillance engendre la confiance.
Une pensée exprimée avec bienveillance engendre la profondeur.
Un bienfait accordé avec bienveillance engendre l’amour.

 Lao-Tseu
                            
                                  

Dans le monde d’aujourd’hui, il existe deux types de pauvreté : la première est due à un manque de nourriture, de vêtements ou de logement ; la seconde, à un manque d’amour et de compassion.
Il faut d’abord s’occuper du second genre de pauvreté parce que si nous avons le cœur empli d’amour et de compassion, nous servirons de tout notre cœur ceux qui n’ont pas de quoi se nourrir, s’habiller ou se loger.

 Le fait de ne plus émettre de jugement, de parler de soi au lieu de l’autre, de ne plus utiliser certains mots (devoir, pouvoir, on, difficile, déranger, etc….) change complètement la relation à soi et aux autres et permet d’être dans l’empathie, dans l’écoute, dans l’attention, dans le moment présent ! Nous parlons alors de cœur à cœur.

 

 « Un coup du sort est une blessure qui s’inscrit dans notre histoire, ce n’est pas un destin. » Boris Cyrulnik


 

Stressé, les individus ont tendance à être moins bienveillants car ils perçoivent ce trait de caractère comme une exigence supplémentaire à laquelle il faut répondre. La bienveillance s’exerce pourtant au double bénéfice de l’auteur et du destinataire car elle facilite des processus essentiels à la résolution des problèmes : communication ouverte, collaboration, créativité… Quelles sont les facteurs clés de succès pour bâtir une culture de la bienveillance ?

1. Ne pas confondre bienveillance et faiblesse
La gentillesse inconditionnelle, porte ouverte à une « sacralisation du oui » n’est en rien comparable à la bienveillance, liée au désir de faire avancer les autres, et donc de dire ce qui est, y compris quand cela ne fait pas plaisir. Un manager bienveillant ne laisse pas son équipe persister dans l’erreur ou se bercer d’illusions. Il saura être direct, ouvert, et « secouer » ses troupes quand ça s’impose.

2. Faire preuve d’altruisme au quotidien
Le manager a trois rôles essentiels : un rôle d’encadrant (définir le champ des possibilités, des contraintes et des attentes), un rôle de pédagogue (aider ses équipes à comprendre leurs échecs et succès) ; et un rôle de motivateur (orienter ses collaborateurs dans une dynamique de progression constante). Ces trois dimensions ont un point commun : elles impliquent toutes les trois le souci de l’autre !

3. Diriger par l’exemple
L’attitude des dirigeants conditionne la capacité de l’entreprise à faire de la bienveillance une valeur partagée par tous. Robert Sutton met ainsi en avant le pouvoir de contagion pour diffuser les comportements binveillants. « Pour le meilleur ou pour le pire, c’est le CEO qui donne le ton », résume la psychologue Judith Sills.

Ce qu’ils en pensent, ce qu’ils ont fait :
Pour Michel-Edouard Leclerc, la bienveillance gagne du terrain en entreprise : « De paternaliste, le mode de management est devenu plus rationnel, plus organisé, plus participatif. À titre d’exemple, je pense être plus gentil – mais aussi moins charismatique ! – que mon père. »

 

 Bienveillance et respect à la maison