dimanche 10 janvier 2016

L’élimination des Européens prélude à la dictature mondialiste

Mort aux blancs

L’élimination des Européens prélude à la dictature mondialiste


Au moment où le commissaire européen aux migration projette d’accueillir 50 millions de migrants d’ici 2060,
http://www.prechi-precha.fr/gilles-lebreton-retrouver-nos-frontieres/
où Tariq Ramadan annonce aux Suisses que la Suisse blanche, c’est terminé, que l’immigration est une aubaine pour notre continent

https://www.youtube.com/watch?v=jpDR77XhIC4
où l’Europe ploie sous le poids de l’incontrôlée et incontrôlable migration musulmane, où les islamo-collabos deviennent peu à peu la majorité, revenons à un des instigateurs du suicide européen : le comte Richard Nikolaus Eijiro von Coudenhove-Kalergi (1894-1972).
Anne Lauwaert l’a déjà fait en mai de cette année:
http://ripostelaique.com/europe-des-1922-kalergi-evoquait-le-metissage-obligatoire.html
mais il n’est pas inutile d’en remettre une couche.
Coudenhove-Kalergi est l’un des pères de l’Europe. Certes pas le plus connu mais certainement un de ces idéologues les plus importants.

130px-Coudenhove-Kalergi_1926

Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur. Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particulièrement distingués dans la construction de la Paneuropa. Nous trouvons Angela Merkel et Herman van Rompuy parmi les lauréats.

kalergi5_herman-von-rompuy


Dès 1922, Coudenhove-Kalergi lance un appel à l’unité du continent.
Il propose comme drapeau européen, une croix rouge sur un disque d’or. « La croix rouge des croisades du Moyen Âge est le symbole le plus ancien d’une union européenne supranationale. Aujourd’hui, elle est l’emblème de l’humanitarisme international.
Le soleil figure l’esprit européen dont le rayonnement éclaire le monde entier ».
En 1923, il écrit Paneuropa et en 1926, crée le Mouvement paneuropéen qui aujourd’hui s’appelle l’Union paneuropéenne internationale avec à sa tête l’ancien député de la Loire, Alain Terrenoire.

En 1925, il publie à Vienne Praktischer Idealismus (Idéalisme pratique) dont la traduction est accessible sur le site suivant :
http://fr.scribd.com/doc/217701916/Coudenhove-Kalergi-Richard-Nikolaus-Idealisme-pratique-Noblesse-Technique-Pacifisme-1925#scribd
Cet ouvrage est difficilement trouvable.

En Allemagne, bien qu’il ne figure pas dans la liste officielle des livres censurés par le gouvernement, il semble impossible de l’acheter.
Lorsque la maison d’édition « Unabhängige Nachrichten » (Les nouvelles indépendantes) considérée d’extrême droite a envisagé de publier l’ouvrage, une perquisition de la police sur les lieux a abouti à la saisie de l’exemplaire de Praktischer Idealismus qui devait servir de base à l’édition.

« Unabhängige Nachrichten » s’est spécialisée dans des ouvrages concernant l’impérialisme culturel, la ploutocratie, le sionisme et le mondialisme comme sources des problèmes politiques contemporains.
L’ouvrage n’est pas non plus mentionné sur les pages Internet officielles du Mouvement paneuropéen.
http://www.paneuropa.org/fr_int/geschichte.html
Cet « oubli » est compréhensible puisque son contenu – dont on peut se demander si certaines pages n’ont pas inspiré quelques lignes de Mein Kampf – offre une surprenante vision de l’avenir vu depuis les années 20. Un futur qui est notre présent.

La question que l’on peut se poser est pourquoi Praktischer Idealismus est-il si peu connu. Est-il réservé à la caste ? Est-il la Bible de l’élite ? Juge-t-elle préférable que les masses, le vulgaire, ne connaissent pas son existence ?
Pour Coudenhove-Kalergi, l’Europe doit être gouvernée par « une aristocratie de l’esprit et de la mentalité ».
Cette élite doit naître de l’union de deux univers qui se sont jusqu’alors opposés, la noblesse, le junker, le seigneur et l’intellectuel, le lettré. Le premier représente la noblesse de volonté, de caractère, de sang, le second, la noblesse cérébrale. Cette dernière provient essentiellement du judaïsme.

« L’opposition entre le junker et le lettré, écrit Kalergi, est fondée sur le fait que ces deux types soient les extrêmes, et non les points culminants, de la noblesse de sang et de la noblesse d’esprit. En effet la plus haute forme d’apparition de la noblesse de sang est le grand-seigneur et celle de la noblesse d’esprit le génie. Ces deux aristocrates ne sont pas seulement compatibles : ils sont apparentés. César, l’accomplissement du grand- seigneur, était le plus génial des Romains ; Goethe, le sommet de la génialité, était le plus grand-seigneur de tous les poètes allemands. Ici comme partout, les stades intermédiaires s’éloignent le plus fortement, tandis que les sommets se touchent. »

Nous arrivons à un moment crucial du raisonnement. La noblesse est solide parce que métissée. Alors que les autres Européens, ceux de la foule, sont « un produit de la consanguinité ». Le pauvre a « une seule âme », « le métis est un humain à plusieurs âmes. »

Dans « la noblesse de sang et le judaïsme, (…), dans ces deux races hétérogènes réside le noyau de la noblesse européenne du futur : dans la noblesse de sang féodale, si tant est qu’elle ne se laisse pas corrompre par la cour, dans la noblesse cérébrale juive, si tant est qu’elle ne se laisse par corrompre par le capital. »

La noblesse est métissée parce que les grands seigneurs échangeaient leurs enfants, parce que les cours européennes contractaient des mariages entre Marie-Antoinette l’Autrichienne et Louis XVI le Français, entre la famille régnante d’Angleterre et celle de l’Empire allemand.

Quant aux Juifs, ils sont métissés parce que « issus d’une communauté religieuse internationale et non d’une race locale, les Juifs sont le peuple au sang le plus mélangé ». De toutes les persécutions (diaspora, conversions forcées) qu’ils ont subies « est ainsi finalement sortie une petite communauté, forgée par un martyr pour une idée héroïquement supporté, et purifiée de tous ses éléments faibles en volonté et pauvres en esprit. Au lieu d’anéantir le judaïsme, l’Europe, contre sa volonté, l’a ennobli à travers ce processus de sélection artificielle, et l’a élevé au rang de futur leader de la nation. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que ce peuple, réchappé du ghetto-cachot, se soit développé en une noblesse d’esprit européenne »

Reste le problème du peuple, du vulgum pecus. De vous, de moi.
« L’humain du lointain futur sera un métis. Les races et les castes d’aujourd’hui seront victimes du dépassement toujours plus grand de l’espace, du temps et des préjugés. La race du futur, négroïdo-eurasienne, d’apparence semblable à celle de l’Égypte ancienne, remplacera la multiplicité des peuples par une multiplicité des personnalités. (…) Dans les familles consanguines, un enfant ressemble à l’autre : car tous représentent le seul type familial commun. Dans les familles métissées, les enfants se différencient davantage les uns des autres : chacun forme une nouvelle variation des éléments divergents des parents et des grands-parents.
La consanguinité engendre des types caractéristiques— le croisement engendre des personnalités originales. »

On sait de quelle manière les Européens doivent devenir négroïdo-eurasiens. C’est à l’œuvre sous nos yeux. Par centaines de milliers, des hommes franchissent les frontières fantômes de Schengen. Bientôt ils engrosseront par le viol ou l’amour les femmes européennes et exit l’Europe que nous avons connue.
En attendant que l’élite règne sur cette population métissée, nous vivons un entre-deux, la démocratie, temps entre le monde de l’ancienne noblesse et celui de la nouvelle noblesse. Voilà ce qu’en dit Kalergi :
« Notre âge démocratique est un pitoyable interlude entre deux grandes époques aristocratiques (…). Le temps intermédiaire se nomme démocratique, mais est en vérité dominé par la pseudo-aristocratie de l’argent. »
(…)

« Dès qu’une nouvelle et véritable noblesse se sera constituée, la démocratie disparaîtra d’elle-même. »

On comprend mieux l’arrogance d’un Attali et d’un BHL. On saisit mieux pourquoi l’Europe n’a jamais fonctionné démocratiquement.
De rares paragraphes pourraient satisfaire le lecteur de Riposte Laïque. Celui-ci, par exemple:
« L’école nourrit ou empoisonne l’âme de l’enfant ; la presse nourrit ou empoisonne l’âme de l’adulte. L’école et la presse sont aujourd’hui toutes deux aux mains d’une intelligentsia dénuée d’esprit : la remettre aux mains de l’esprit serait la plus haute tâche de toute politique idéale, de toute révolution idéale. »
Mais ce serait sortir ces lignes de leur contexte. Un contresens.

Pour Kalergi, en 1920, l’école et la presse empoissent les esprits parce qu’elles ne proposent pas la solution du métissage, cette « politique idéale », cette « révolution idéale ».
A lire les manuels d’éducation civique contemporains, Kalergi trouverait qu’aujourd’hui l’école et la presse nourrissent très correctement les âmes des enfants et des adultes.

Cette aristocratie en devenir – « L’ancien type aristocratique est en voie d’extinction ; le nouveau n’est pas encore constitué » – sera une « nouvelle race noble internationale et intersociale (…). Toutes les personnes éminentes en beauté, en force, en énergie et en esprit se reconnaîtront et s’attacheront d’après les lois secrètes de l’attraction érotique. (…) les femmes les plus belles reviendront automatiquement aux hommes les plus significatifs, les hommes les plus accomplis aux femmes les plus éminentes. Plus un homme sera parfait dans le physique, le psychique et le spirituel — plus le nombre de femmes parmi lesquelles il pourra choisir sera grand. Seule sera libre l’alliance des hommes les plus nobles avec les femmes les plus nobles, et inversement — les personnes de valeur moindre devront se satisfaire de personnes de valeur moindre. »
Tout se termine en histoire de Q.
Q comme qualité.

Dans un article intitulé « Breed War Strain Out of Germans » paru en 1943, Ernest Hooton, un anthropologue américain, professeur à Harvard, exposait un projet de « mode de reproduction » qui « détruirait le nationalisme allemand et son idéologie agressive tout en conservant et en perpétuant les capacités biologiques et sociologiques allemandes souhaitables ».

Il préconisait la transformation génétique de la nation allemande en encourageant l’accouplement de femmes allemandes avec des non-allemands qui seraient amenés dans le pays en grand nombre.
C’est en cours de réalisation à l’échelle de l’Europe.

Et ce soir, mercredi 9 septembre, Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, a planté un clou de plus dans le cercueil de notre continent. Il souhaite un accord rapide entre les pays membres pour accueillir 160 000 réfugiés « de façon obligatoire ». Il a insisté sur la nécessité de ne pas faire de distinction entre les réfugiés. « Il n’y a pas de religion, de croyance, de philosophie quand il s’agit de réfugiés. Nous ne faisons pas de distinction », a-t-il dit. Il a ajouté que les migrants devaient pourvoir travailler dès leur arrivée.
L’hymne de l’Europe ne doit plus être l’Ode à la joie mais un De profondis.

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