mercredi 18 novembre 2015



L’Ordre

L’hypnose est une technique pouvant
être utilisée dans le cadre de différentes interventions, dont la
psychoth
érapie. Depuis juin 2012, pour exercer la psychothérapie au Québec, y compris par le biais de
l’hypnose, il faut être psychologue, médecin ou détenteur d’un permis de psychothérapeute.
Au moment de la signature de la présente entente, une simple recherche
sur le Web avec lesmots
clés « hypnose » ou « hypnothérapie » permet de constater l’abondance et la diversité des services
offerts. La description de certaines de ces offres peut parfois porter à confusion et laisser entendre
que les services offerts cons
tituent de la psychothérapie au sens de l’article 187.1 du
Code
des
professions
(L.R.Q., c. C
-
26).
L’OPQ reçoit d’ailleurs beaucoup de signalements en pratique illégale à ce sujet, d’où l’intérêt de la
présente entente.
Or, s’il ne fait aucun doute que l’h
ypnose ou l’hypnothérapie peut être pratiquée et offerte au public
par un praticien qui n’est pas psychothérapeute, il convient toutefois que les services qu’il annonce et
offre au public, dans ses publicités, sur son site Web ou via d’autres forums, soien
t conformes à la Loi.
La présente entente vise donc à circonscrire cette façon de faire et d’encadrer le mieux possible la
façon dont les services d’hypnose ou d’hypnothérapie peuvent être offerts au public, lorsqu’ils ne
s’inscrivent pas dans le cadre d’u
ne psychothérapie. Il est néanmoins entendu que cette entente ne
peut être interprétée et présentée comme étant la reconnaissance par l’OPQ de la compétence des
personnes qui ne sont pas sous sa juridiction et qui exercent l’hypnose.
Il est également enten
du que la présente entente ne limite en rien les pouvoirs de l’OPQ de faire
enquête et, le cas échéant, d’engager des poursuites pénales pour exercice illégal en fonction des
circonstances particulières de chaque cas.
De la même façon, même si l’EFPHQ form
e et représente la majorité des praticiens en hypnose au
Québec et qu’elle s’engage, dans la mesure de ses capacités, à diffuser le contenu de la présente
entente au plus grand nombre, elle ne saurait être garante du respect de celle
-
ci par ses étudiants o
u
ses membres.
1)
Champs
d’intervention
du
praticien
en
hypnose
:
Brève
définition
L’état d’hypnose peut communément être décrit comme un « état et/ou un processus de conscience
modifiée, produit par une induction directe, indirecte ou contextuelle, res
semblant parfois au sommeil,
mais physiologiquement distinct, caractérisé par une élévation de la suggestibilité et qui produit à son
tour certains phénomènes sensoriels et perceptuels. Cet état, que certains auteurs appellent “la
transe”, est un état natu
rel que l’on peut vivre tous les jours : lorsqu’on rêve éveillé, lorsqu’on regarde
un feu attentivement, lorsqu’on perd temporairement la notion du temps au volant d’une voiture ou,
tout simplement, lorsqu’on est “dans la lune”. »1
Objectifs
Une fois le
client sous hypnose, le praticien dispose d’une panoplie de techniques pour répondre aux
besoins et aux attentes spécifiques de son client, pour l’amener à changer certains comportements, à
entrevoir la vie ou des évènements précis de façon différente, ou
tout simplement pour l’aider à avoir
une meilleure confiance en ses capacités. L’hypnose peut également être utilisée à des fins
analgésiques ou antalgiques.
Techniques
Pour induire un état hypnotique chez son client, le praticien en hypnose dispose de
plusieurs
techniques qui peuvent varier considérablement d’un praticien à l’autre. Généralement, le praticien
utilisera une technique visant à provoquer la fatigue oculaire, puis la fermeture des yeux. Le praticien
verra ensuite à approfondir l’état hypnot
ique soit par décompte, respiration, signal prédéterminé ou
silence. Suivra une pré
-
suggestion ayant pour but de notifier au client que nous arrivons à une autre
étape; il s’agit subjectivement d’une déclaration d’hypnose ou de transe. À partir de ce momen
t, le
praticien en hypnose utilisera différentes techniques afin d’atteindre un but spécifique visant à aider le
client avec sa problématique.
Parmi ces techniques, on dénombre notamment la suggestion ou la métaphore hypnotique, le réflexe
conditionné, l’a
ncrage, l’autohypnose, le renforcement positif, la régression2 ou la visualisation. Ces
techniques peuvent être utilisées indépendamment les unes des autres ou encore conjointement.
Enfin, le praticien procèdera généralement à une ratification de l’état d’
hypnose, puis à des post
-
suggestions, avant d’entamer la phase de « réveil ».
Notons que ces techniques, lorsqu’elles sont utilisées par un praticien en hypnose qui n’est ni
médecin, ni psychologue, ni détenteur d’un permis de psychothérapeute, ne cherchen
t pas à identifier
et traiter, à proprement parler, un problème. Elles visent plutôt à donner au client des outils pour
mieux composer avec les symptômes ou manifestations d’un problème ou d’une maladie. La plupart
du temps, ces techniques visent essentiel
lement à aider le client à changer des comportements,
réflexes ou habitudes de vie spécifiques.
Dans tous les cas, le praticien en hypnose qui n’est ni médecin, ni psychologue, ni détenteur d’un
permis de psychothérapeute ne peut poser de diagnostic médica
l ou psychologique ou prescrire des
médicaments. Il ne peut non plus recommander ou inciter un client à cesser un suivi, un traitement ou
la prise de médicaments qui lui ont été prescrits par un professionnel de la santé.
2)
Le
praticien
en
hypnose
et
la
p
sychothérapie
Le praticien en hypnose qui n’est ni psychologue, ni médecin ni détenteur d’un permis de
psychothérapeute ne peut utiliser les techniques d’hypnose dans le cadre d’une psychothérapie.
La psychothérapie est définie à l’article 187.1 du
Code
d
es
professions comme suit :
«
Un
traitement
psychologique
pour
un
trouble
mental,
pour
des
perturbations
comportementales
ou
pour
tout
autre
problème
entraînant
une
souffrance
ou
une
détresse
psychologique
qui
a
pour
but
de
favoriser
chez
le
client
des
ch
angements
significatifs
dans
son
fonctionnement
cognitif,
émotionnel
ou
comportemental,
dans
son
système
interpersonnel,
dans
sa
personnalité
ou
dans
son
état
de
santé.
Ce
traitement
va
au
-
delà
d’une
aide
visant
à
faire
face
aux
difficultés
courantes
ou
d’
un
rapport
de
conseils
ou
de
soutien.
»
Il existe d’autres interventions qui s’approchent de la psychothérapie mais qui n’en sont pas. Pour
éviter de confondre ces interventions avec de la psychothérapie, le
Règlement
sur
le
permis
de
psychothérapeute3
, à
son article 6, en dresse une liste non exhaustive. Ainsi, le praticien en hypnose qui
n’est pas habilité à exercer la psychothérapie peut utiliser l’hypnose dans le cadre de ces interventions
ou d’autres interventions semblables :
1e
La
rencontre
d’accomp
agnement
qui
vise
à
soutenir
la
personne
par
des
rencontres,
qui
peuvent
être
régulières
ou
ponctuelles,
permettant
à
la
personne
de
s’exprimer
sur
ses
difficultés.
Dans
un
tel
cadre,
le
professionnel
ou
l’intervenant
peut
lui
prodiguer
des
conseils
ou
lui
faire
des
recommandations.
2e
L’intervention
de
soutien
qui
vise
à
soutenir
la
personne
dans
le
but
de
maintenir
et
de
consolider
les
acquis
et
les
stratégies
d’adaptation
en
ciblant
les
forces
et
les
ressources
dans
le
cadre
de
rencontres
ou
d’activit
és
régulières
ou
ponctuelles.
Elle
implique
notamment
de
rassurer,
prodiguer
des
conseils
et
fournir
del’information
en
lien
avec
l’état
de
la
personne
ou
encore
la
situation
vécue.
3e
L’intervention
conjugale
et
familiale
qui
vise
à
promouvoir
et
à
sout
enir
le
fonctionnement
optimal
du
couple
ou
de
la
famille
par
l’intermédiaire
d’entretiens
impliquant
souvent
l’ensemble
de
ses
membres.
Elle
a
pour
but
de
changer
des
éléments
du
fonctionnement
conjugal
ou
familial
qui
font
obstacle
à
l’épanouissement
du
couple
ou
des
membres
de
la
famille
ou
d’offrir
aide
et
conseil
afin
de
faire
face
aux
difficultés
de
la
vie
courante.
4e
L’éducation
psychologique
qui
vise
un
apprentissage
par
l’information
et
l’éducation
de
la
personne.
Elle
peut
être
utilisée
à
toutes
les
étapes
du
processus
de
soins
et
de
services.
Il
s’agit
de
l’enseignement
de
connaissances
et
d’habiletés
spécifiques
visant
à
maintenir
et
à
améliorer
l’autonomie
ou
la
santé
de
la
personne,
notamment
à
prévenir
l’apparition
de
problèmes
de
santé
ou
s
ociaux
incluant
les
troubles
mentaux
ou
la
détérioration
de
l’état
mental.
L’enseignement
peut
porter
par
exemple
sur
la
nature
de
la
maladie
physique
ou
mentale,
ses
manifestations,
ses
traitements
y
incluant
le
rôle
que
peut
jouer
la
personne
dans
le
mai
ntien
ou
le
rétablissement
de
sa
santé
et
aussi
sur
des
techniques
de
gestion
de
stress,
de
relaxation
ou
d’affirmation
de
soi.
5e
La
réadaptation
qui
vise
à
aider
la
personne
à
composer
avec
les
symptômes
d’une
maladie
ou
à
améliorer
les
habiletés.
Elle
est
utilisée,
entre
autres,
auprès
des
personnes
souffrant
de
problèmes
significatifs
de
santé
mentale
afin
de
leur
permettre
d’atteindre
un
degré
optimal
d’autonomie
en
vue
d’un
rétablissement.
Elle
peut
s’insérer
dans
le
cadre
de
rencontres
d’accompagnem
ent
ou
de
soutien
et
intégrer,
par
exemple,
la
gestion
des
hallucinations
et
l’entraînement
aux
habiletés
quotidiennes
et
sociales.
6e
Le
suivi
clinique
consiste
en
des
rencontres
qui
permettent
l’actualisation
d’un
plan
d’intervention
disciplinaire.
Il
s
’adresse
à
des
personnes
qui
présentent
des
perturbations
comportementales
ou
tout
autre
problème
entraînant
une
souffrance
ou
une
détresse
psychologique
ou
des
problèmes
de
santé
incluant
des
troubles
mentaux.
Il
peut
impliquer
la
contribution
de
différen
ts
professionnels
ou
intervenants
regroupés
en
équipes
interdisciplinaires
ou
multidisciplinaires.
Ce
suivi
peut
s’inscrire
dans
un
plan
d’intervention
au
sens
de
la
Loi
sur
les
services
de
santé
et
les
services
sociaux
ou
de
la
Loi
sur
l’instruction
publi
que,
se
dérouler
dans
le
cadre
de
rencontres
d’accompagnement
ou
d’interventions
de
soutien,
telles
que
définies
précédemment
et
également
impliquer
de
la
réadaptation
ou
de
l’éducation
psychologique.
Il
peut
aussi
viser
l’ajustement
de
la
pharmacothérapie
.
7e
Le
coaching
qui
vise
l’actualisation
du
potentiel
par
le
développement
de
talents,
ressources
ou
habiletés
de
personnes
qui
ne
sont
ni
en
détresse,
ni
en
souffrance,
mais
qui
expriment
des
besoins
particuliers
en
matière
de
réalisations
personnelles
ou
professionnelles.
8e
L’intervention
de
crise
qui
consiste
en
une
intervention
immédiate,
brève
et
directive
qui
se
module
selon
le
type
de
crise,
les
caractéristiques
de
la
personne
et
celles
de
son
entourage.
Elle
vise
à
stabiliser
l’état
de
la
person
ne
ou
de
son
environnement
en
lien
avec
la
situation
de
crise.
Ce
type
d’intervention
peut
impliquer
l’exploration
de
la
situation
et
l’estimation
des
conséquences
possibles,
par
exemple,
le
potentiel
de
dangerosité,
le
risque
suicidaire
ou
le
risque
de
compensation,
le
désamorçage,
le
soutien,
l’enseignement
de
stratégies
d’adaptation
pour
composer
avec
la
situation
vécue
ainsi
que
l’orientation
vers
les
services
ou
les
soins
les
plus
appropriés
aux
besoins.
3)
L’utilisation
de
l’hypnose
en
lien
avec
ce
rtaines
problématiques.
1.
L’hypnose
et
la
gestion
de
la
douleur
:
L’hypnose peut être utilisée à des fins analgésiques ou antalgiques, dans le but d’aider certaines
personnes à mieux gérer la douleur, et ce, tant pour des douleurs ponctuelles que pour
des douleurs
chroniques.
Lorsque l’hypnose est utilisée à des fins purement analgésiques, pour aider le client à mieux gérer une
douleur ponctuelle, le praticien utilise une ou plusieurs techniques ayant pour but de
modifier,
réévaluer, et quantifier, par
inductions hypnotiques, la perception de la douleur. Ces techniques sont
notamment et communément utilisées en dentisterie ou en préparation à un examen médical ou à un
accouchement. L’hypnose contribue ainsi à abaisser l’anticipation de la douleur par la
gestion du
stress qui y est relié.
Pour les douleurs récurrentes, voire chroniques, dont peuvent être affligés certains clients, ces mêmes
techniques analgésiques peuvent aussi être utilisées dans la mesure où elles ne visent qu’un
soulagement ou un
apaisement physiologique de la douleur. Avant de proposer à son client de telles
techniques, le praticien en hypnose doit s’assurer que le client ait d’abord eu un diagnostic médical
expliquant la source, la cause ou la provenance de la douleur à soulager.
1.
L’hypnose
et
l’insomnie
:
L’hypnose peut être utilisée afin de faciliter le sommeil. En effet, l’utilisation sous hypnose de certaines
techniques permettant la gestion du stress, l’augmentation de la confiance en ses capacités à trouver
le sommeil ou l’e
nseignement de l’autohypnose et de techniques de respiration, par exemple,
permettent au praticien d’aider le client aux prises avec des difficultés liées au sommeil de se
détendre et de mieux faire face à ses difficultés. D’autre part, le praticien peut u
tiliser des suggestions
hypnotiques ciblant l’arrêt des pensées obstruant l’arrivée du sommeil ou enseigner l’utilisation de
signesignal afin d’aider à freiner les bruits environnants qui perturbent le sommeil.
1.
L’hypnose,
la
dépendance
et
les
habitudes
de
vie
:
L’hypnose peut être utilisée afin d’aider le client à changer différentes habitudes de vie ou de
consommation. Pour ce faire, le praticien peut, une fois le client sous hypnose, utiliser la suggestion
hypnotique, le renforcement positif ou la visua
lisation afin notamment de cibler certaines difficultés
relatives aux habitudes de vie. Par exemple, ces techniques peuvent favoriser une meilleure gestion du
stress ou augmenter la confiance en ses capacités à modifier ses habitudes de vie. Dans certains
cas,
ces interventions suffiront pour changer certaines habitudes de vie ou de consommation, comme
cesser de fumer, réduire la consommation d’alcool, réduire le temps passé sur les réseaux sociaux ou
sur internet, etc.
Les problèmes de dépendance nécessita
nt un suivi professionnel en parallèle avec l’hypnothérapie
englobent tous les types de dépendance aux substances (drogues, médicaments, alcool et autres
substances similaires) et également celles non liées à des substances (affective, sexuelle, jeu compul
sif,
cyberdépendance, etc.).
1.
L’hypnose
et
les
phobies
:
L’hypnose peut être utilisée pour agir sur des manifestations ou soulager des symptômes associés aux
phobies. Par exemple, afin de diminuer le stress qui accompagne certaines situations générant des
peurs et d’augmenter la confiance en ses capacités à y faire face, le praticien peut, en amenant son
client en état hypnotique, utiliser la visualisation, l’anticipation positive et la suggestion hypnotique, et
enseigner l’autohypnose. L’objectif est de m
ieux outiller le client et l’aider à mieux s’adapter aux
situations qui génèrent des peurs.
Parmi les cas les plus courants où le praticien en hypnose est appelé à aider ses clients, on dénombre
la peur des animaux, des hauteurs, de prendre l’avion, des fo
ules, des endroits clos, etc. Le praticien
en hypnose, dans ces cas, ne cherche pas à identifier ou traiter la phobie. Il cherche plutôt à diminuer
les appréhensions et le stress lié aux situations qui génèrent de la peur.
1.
L’hypnose
et
l’anxiété
:
L’hypno
se peut être utilisée pour agir sur des manifestations ou soulager des symptômes associés à
l’anxiété. Pour ce faire, le praticien peut, une fois le client sous hypnose, utiliser notamment la
visualisation, la suggestion hypnotique et d’autres techniques p
ermettant la gestion du stress et
favorisant l’amélioration de la confiance en ses capacités à faire face aux situations génératrices
d’anxiété. Il peut aussi enseigner l’autohypnose et des techniques de respiration. L’objectif est de
mieux outiller le cli
ent et l’aider à mieux composer avec les manifestations de l’anxiété.
1.
L’hypnose,
la
dépression
et
le
burnout
:
L’hypnose peut également être utilisée auprès des personnes ayant reçu un diagnostic de dépression
ou de
burnout
pour agir sur des manifestations
ou soulager des symptômes qui y sont associés. Le
praticien utilise, pour ce faire, différentes techniques lorsque le client est sous hypnose, notamment, la
visualisation, le renforcement positif et l’ancrage afin de favoriser une meilleure gestion du str
ess
situationnel, la détente, l’augmentation de la confiance en ses capacités et une amélioration de
l’optimisme au quotidien.
1.
L’hypnose
et
les
autres
problématiques
La présente entente n’ayant pas pour but d’énumérer de façon exhaustive toutes les problé
matiques
et situations pour lesquelles le praticien en hypnose peut valablement offrir ses services au public, il
va de soi que l’énumération ci
-
dessus ne saurait être interprétée comme limitant son champ de
pratique. Ainsi, et à titre d’exemples, les diff
érentes techniques en hypnose pourront également être
utilisées afin d’aider des personnes à mieux composer avec les manifestations et à soulager les
symptômes d’autres problèmes non énumérés précédemment comme l’acouphène, le bruxisme, le
bégaiement, l’én
urésie, les troubles d’apprentissage, les crises de panique, etc.
Dans tous les cas, le praticien en hypnose ne peut traiter ou guérir de telles problématiques ni le
prétendre ou le laisser entendre. De plus, pour les cas où les problématiques et situation
s qu’identifie
le présent document s’avèrent complexes et pour lesquelles l’utilisation des techniques d’hypnose ou
autres précédemment décrites ne suffisent pas, celles
-
ci devront obligatoirement s’accompagner
d’autres services professionnels, par exemple
, groupe de soutien, suivi médical, suivi
psychothérapeutique, ou autre thérapie spécialisée en fonction des difficultés ou du trouble en
présence, etc.

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