vendredi 6 mai 2016

bioénergie et Neurofeedback


Bioénergie : Comment le corps vibre

La Bioénergie analyse le flux d’énergie et étudie la multitude des processus de transformation de l’énergie dans les systèmes vivants. Elle vise au maintien d’un système énergétique équilibré et symétrique dans notre corps.



Au début de la conception de l’être humain, une cellule se constitue autour d’une étincelle de lumière. Cette lumière est une onde de nature électromagnétique. Cette cellule va se diviser en deux cellules, qui à leur tour vont se diviser et ainsi de suite, jusqu’à constituer un corps humain. Chaque cellule ayant alors un rôle défini sur un plan fonctionnel, organique…
Cette « vibration lumière » rayonne au-delà de la cellule, créant ainsi un champ « énergétique électromagnétique » symétrique par rapport à l’axe central de la cellule et de notre corps. Dès notre conception, notre corps est programmé pour réguler et équilibrer ce champ afin de faire face aux diverses agressions (système immunitaire et défensif). Le champ doit être en permanence en parfaite symétrie par rapport à l’axe central de notre corps, ce qui est le gage d’un équilibre énergétique. Dans le cas contraire on parle de déséquilibre énergétique.
Les physiciens et les mathématiciens ont démontré que les ondes électromagnétiques se propageaient et se répandaient dans les organismes vivants et que toute cellule vivante possédait sa propre vibration et émettait des ondes. Nos cellules sont d’excellents récepteurs/émetteurs traversés par des courants et des ondes. Notre corps est donc parcouru d’ondes électromagnétiques qu’il est possible de mesurer. Tous les organismes vivants ont une vibration, une résonance appelée champ vibratoire.

Garder la bonne fréquence

Ce champ vibratoire est un ensemble complexe de plusieurs champs énergétiques qui rayonnent autour du corps humain sur plusieurs mètres et peut refléter d’une certaine manière l’état énergétique de nos cellules dans son aspect matière et, par conséquent, de notre corps.
Chaque champ énergétique faisant partie de ce champ vibratoire est appelé corps subtil. Il existe donc plusieurs corps subtils qui s’emboîtent les uns dans les autres, comme des poupées russes, et qui constituent notre corps physique. Lorsqu’un corps subtil présente une fuite énergétique, nous présentons alors une énergie spécifique provoquant des troubles divers.
  • Les corps subtils sont symétriques par rapport à l’axe thermique central du corps.
  • Il y a équilibre énergétique (pas de fuite énergétique).
  • L’axe thermique passe par les sept chakras du corps. Chacun correspond à une glande endocrine et représente un centre énergétique spécifique, avec une fonction précise. Dans le cas d’une affection physique, d’un trouble émotionnel ou psychique, ou bien d’une rupture de l’équilibre cosmo-tellurique, l’ensemble des corps est perturbé et les rayonnements peuvent être décentrés et se déchirer.
  • Les corps subtils ne sont plus dans l’axe, on dira alors du sujet qu’il n’est plus centré.
  • Il y a déséquilibre énergétique.
  • Ce déséquilibre énergétique peut entraîner différents troubles, des symptômes, des pathologies.
Les ondes électromagnétiques du corps humain ont chacune une fréquence particulière. Par résonance, chaque onde a sa signature ce qui nous permet d’identifier et d’évaluer une défaillance, un dysfonctionnement. Effectivement, en cas de pathologie ou de symptôme, une onde peut être perturbée. En régulant cette onde à sa fréquence d’origine on peut aider le corps à s’autoguérir naturellement, à renforcer son système immunitaire et défensif.

Des mesures et des techniques de rééquilibrage

Les maux de l’esprit et du corps expriment un conflit, une dysharmonie entre nous-même et notre énergie vitale. Des moyens techniques nous permettent de mesurer et de vérifier les différents champs énergétiques, entre autres :
  • l’antenne de Lecher modernisée ;
  • des appareils en Bio Résonance.
Quand apparaît un déséquilibre, l’énergéticien dispose de moyens pour effectuer l’équilibrage :
  • L’antenne de Lecher pour contrôler et réguler l’énergie interne en suivant un protocole précis.
  • La lithothérapie (utilisation de pierres) permet d’harmoniser les chakras, d’aligner l’axe thermique.
  • Des points de digitopression pour intervenir sur les champs énergétiques.
Ainsi la Bioénergie permet de relancer la circulation interne de notre énergie, afin d’apporter un équilibre et une parfaite symétrie aux différents champs énergétiques ou corps subtils. Le tout permettant de stimuler les défenses naturelles de notre organisme et nous assurer plus de bienêtre.

Neurofeedback le cerveau guérisseur

Technique non invasive, le neurofeedback fait appel aux capacités de plasticité neuronale pour traiter des symptômes tels que l’insomnie, le stress, les troubles du comportement, les migraines… Elle comporte différentes approches, basées sur une action consciente ou non du sujet sur l’activité bioélectrique de son cerveau.



Le neurofeedback fait de plus en plus d’adeptes dans l’Hexagone. Mais la technique, basée sur une mesure de l’activité bioélectrique du cerveau et une intervention consciente ou non du sujet pour correction en cas de trouble, n’est pas vraiment nouvelle. Élaborée à partir des années 1960-1970 aux États-Unis, elle s’appuie sur les recherches des neurologues Joseph Kamiya et Neal Miller, lesquels mettent en lumière l’influence de la volonté sur le corps.

Leurs expérimentations montrent la capacité de contrôle d’un sujet sur l’émission de certaines de ses ondes cérébrales (type alpha), et également sur des comportements physiologiques, comme le débit du flux sanguin. Suite à ces découvertes, des protocoles de neurofeedback se développent, basés sur la capacité d’autocontrôle du sujet sur l’activité bioélectrique de son cerveau dans un but thérapeutique. Cette dernière est ainsi mesurée au moyen d’un électroencéphalogramme (EEG). Un feedback (une information retour) est envoyé en cas de « signal atypique » détecté, avec pour objectif la régulation des fonctions cérébrales par le sujet lui-même. Les études se multiplient, prouvant l’impact positif du neurofeedback sur la diminution de la fréquence des crises d’épilepsie, sur le TDAH (Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité) ou sur des vétérans du Vietnam.

Connecter les neurones

Ce type de neurofeedback, dit de première génération, est basé sur un entraînement du patient sur son activité cérébrale, qu’il tente de réguler volontairement par la force de la pensée, et a pour cible un trouble en particulier, déterminé à l’avance. C’est l’approche privilégiée par certains psychologues (voir ci-dessous). Celle-ci se distingue nettement d’une autre approche, appelée dynamique, développée il y a dix ans en France et utilisée par la majorité des praticiens, soit une centaine dans le pays. Reposant sur le système informatisé NeurOptimal, elle permet au patient de n’avoir aucune action consciente à effectuer, le cerveau se régulant tout seul.

Installé dans un fauteuil, le patient écoute de la musique. Deux électrodes placées sur le haut du crâne enregistrent son activité neuronale, de manière indolore. Lorsqu’un pic d’activité neuronale est détecté, une micro-interruption du son intervient, inaudible pour la personne, mais perceptible par le cerveau. Celui-ci, en réponse à ce feedback, se réorganise et s’autorégule. « Le but n’est pas d’agir sur un trouble en particulier. C’est le cerveau qui lui-même décide à quel niveau il veut intervenir », explique Anne Maury, épouse du chef d’orchestre Emmanuel Krivine, qui pratique le neurofeedback dynamique depuis sept ans. « La notion de plasticité neuronale est au coeur de l’efficacité de la technique. Les connexions entre les neurones peuvent, en fonction des événements, d’un traumatisme ou de mauvaises conditions s’abîmer, mais surtout se réparer », poursuit la praticienne. Elle reçoit adultes et enfants, pour des troubles comme les problèmes de sommeil, le stress, le manque de confiance, de concentration ou de créativité, les addictions mais aussi l’autisme et le handicap mental des enfants. « Les effets peuvent parfois se faire sentir dès la première séance, mais plusieurs séances rapprochées sont nécessaires pour consolider les acquis », précise-t-elle, insistant sur son approche originale « neuro-psycho musico thérapie ». Elle choisit en effet une musique spécifique en fonction de chaque patient, « adaptée à son état ».

Élaborée par deux Canadiens, Sue et Val Brown, à la tête du Zengar Institute, le système NeurOptimal s’appuie, selon ses concepteurs, sur un algorithme élaboré par Dennis Gabor, prix Nobel de physique en 1971 pour ses travaux sur l’holographie. « Ce système part du principe que le cerveau peut se transformer beaucoup plus rapidement en utilisant des circuits neuronaux inconscients », précise Anne Maury, qui indique que le neurofeedback montre une efficacité dans 95 % des cas, « et d’ailleurs pas forcément là où la personne l’attendait de prime abord ». Technique non invasive, – aucun courant via les électrodes n’est en effet envoyé au cerveau –, le système NeurOptimal ne comporte pas d’effets secondaires connus. Néanmoins, la pratique du neurofeedback dynamique étant libre, seulement conditionnée par l’acquisition d’une machine, les profils des praticiens sont très variables. En vue d’une séance, il est prudent de vérifier au préalable ses références et l’interroger minutieusement sur son approche.

Le neurofeedback à l’hôpital

Deux hôpitaux proposent une prise en charge clinique de neurofeedback de première génération, c’est-à-dire basé sur l’apprentissage et l’entraînement conscient du cerveau. Leurs approches sont considérées comme expérimentales. À la Pitié-Salpêtrière, à Paris, Olivier Pallanca, psychiatre et neurophysiologiste, traite depuis 2011 les troubles du sommeil. À l’hôpital Sainte-Marguerite de Marseille, le pôle de psychiatrie prend en charge les personnes souffrant de TDAH (Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité).

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